Текст и перевод песни Elemental - Usne

Usne

Ljubio si me u taksiju
Nisam primijetila da si tu,
Odglumila sam predstavu
Pa sam izašla u predgrađu.
Sad ni ne pamtim tko si bio,
A možda si me i volio;
Tvoje su usne pričale tajne
Sad pričaju laži, šarene, sjajne,
pričaju laži, šarene, sjajne.

I bolje da smo nijemi
Svatko u svojoj sjeni,
I bijes me katkad uzme
Ali ne miču se usne.
I neću ništa reći
Živi u svojoj sreći;
I bijes me katkad uzme,
Ali ne miču se usne.
Ne, ne, ne, ne, ne
ne, ne,
Ne, ne, ne, ne, ne
ne, ne.

Stvarnost uzme danak
riječi nauče bit grube
usne prevale prostote,
zaborave da ljube.
Čet'ri zida čuju,
al' nauče da šute
da čuvaju k'o tajnu,
sve suze prosute.
Uši ništa ne čuju,
oči slijepe odavno
kad krene samo zatvore se,
znaju bit će odvratno.
Lete ispod pojasa
uvrede su jeftine,
psovke se ne susprežu,
optužbe su ozbiljne.
Padaju sve maske, krv
zavrije od strasti,
krv zavrije od strasti
i ništa nije sveto.
Padaju sve maske, krv
zavrije od strasti,
krv zavrije od strasti
baš ništa nije sveto.

I tko bi znao tko sam bila
Previše toga sam sakrila;
Moje su usne mekane, nježne,
Al' nisu k'o njene, nikad k'o njene,
nisu k'o njene, nikad k'o njene.

I bolje da smo nijemi
Svatko u svojoj sjeni,
I bijes me katkad uzme
Ali ne miču se usne.
I neću ništa reći
Živi u svojoj sreći;
I bijes me katkad uzme,
Ali ne miču se usne.
Ne, ne, ne, ne, ne
ne, ne,
Ne, ne, ne, ne, ne
ne, ne,
Ne, ne, ne, ne, ne
ne, ne,
ne, ne, ne.
Kraj

Usne

Tu m'as embrassée dans un taxi
Je n'ai pas remarqué que tu étais là,
J'ai joué une comédie
Et je suis sortie dans la banlieue.
Maintenant, je ne me souviens même pas qui tu étais,
Et peut-être que tu m'aimais;
Tes lèvres ont raconté des secrets
Maintenant elles racontent des mensonges, colorés, brillants,
Elles racontent des mensonges, colorés, brillants.

Et mieux vaut que nous soyons muets
Chacun dans son ombre,
Et la colère me prend parfois
Mais mes lèvres ne bougent pas.
Et je ne dirai rien
Vis dans ton bonheur;
Et la colère me prend parfois,
Mais mes lèvres ne bougent pas.
Non, non, non, non, non
Non, non,
Non, non, non, non, non
Non, non.

La réalité fait payer un prix
Les mots apprennent à être grossiers
Les lèvres déversent des banalités,
Elles oublient d'embrasser.
Quatre murs entendent,
Mais ils apprennent à se taire
À garder comme un secret,
Toutes les larmes versées.
Les oreilles n'entendent rien,
Les yeux sont aveugles depuis longtemps
Quand ça commence, ils se ferment,
Ils savent que ça sera dégoûtant.
Ils volent sous la ceinture
Les insultes sont bon marché,
Les jurons ne se retiennent pas,
Les accusations sont sérieuses.
Tous les masques tombent, le sang
Bouillonne de passion,
Le sang bouillonne de passion
Et rien n'est sacré.
Tous les masques tombent, le sang
Bouillonne de passion,
Le sang bouillonne de passion
Rien n'est sacré.

Et qui saurait qui j'étais
J'ai trop de choses cachées;
Mes lèvres sont douces, tendres,
Mais elles ne sont pas comme les siennes, jamais comme les siennes,
Elles ne sont pas comme les siennes, jamais comme les siennes.

Et mieux vaut que nous soyons muets
Chacun dans son ombre,
Et la colère me prend parfois
Mais mes lèvres ne bougent pas.
Et je ne dirai rien
Vis dans ton bonheur;
Et la colère me prend parfois,
Mais mes lèvres ne bougent pas.
Non, non, non, non, non
Non, non,
Non, non, non, non, non
Non, non,
Non, non, non, non, non
Non, non,
Non, non, non.
Fin