Текст и перевод песни Emir - Aynen Devam

Aynen Devam

Yine coştun bugünlerde
Ateşle oynuyorsun
Sabah akşam triplerde
Beni kızdırıyorsun
Aşk değil seninkisi
Düpedüz oyalanma
Varlığı şaibeli
Kocaman bir muamma
Bi' gün öyle, bi' gün böyle
Dengemi bozuyorsun
Tolerans gösterdik diye
Aptal mı sanıyorsun?
Yeminler, özürler uçuşuyor havalarda
İnanan var nasılsa
Durma yavrum devam
Bitmez bende sevdan
Yerden yere vurdun kalbimi
Yetmedi anlaşılan
Aynen devam
Her şeye ilaç zaman
Yola geleceksin
Bi' gün inan
Gerisi falan filan
Bi' gün öyle, bi' gün böyle
Dengemi bozuyorsun
Tolerans gösterdik diye
Aptal mı sanıyorsun?
Canımlar, cicimler uçuşuyor havalarda
İnanan var nasılsa
Durma yavrum devam
Bitmez bende sevdan
Yerden yere vurdun kalbimi
Yetmedi anlaşılan
Aynen devam
Her şeye ilaç zaman
Yola geleceksin
Bi' gün inan
Gerisi falan filan

Continue comme ça

Tu es de nouveau enflammée ces jours-ci
Tu joues avec le feu
Tu es dans tes états matin et soir
Tu me fais enrager
Ce n'est pas de l'amour ce que tu ressens
Tu te moques purement et simplement
Ton existence est suspecte
C'est une grande énigme
Un jour tu es comme ça, un jour tu es comme ça
Tu me déstabilise
Tu penses que parce que je t'ai tolérée
Je suis stupide ?
Les serments, les excuses volent dans l'air
Il y a quand même des gens qui te croient
Ne t'arrête pas mon chéri, continue
Mon amour pour toi ne finira jamais
Tu as brisé mon cœur en mille morceaux
Apparemment ça ne suffit pas
Continue comme ça
Le temps est le remède à tout
Tu finiras par rentrer dans le droit chemin
Un jour tu le croiras
Le reste, c'est du blabla
Un jour tu es comme ça, un jour tu es comme ça
Tu me déstabilise
Tu penses que parce que je t'ai tolérée
Je suis stupide ?
Mes amours, mes jolies choses volent dans l'air
Il y a quand même des gens qui te croient
Ne t'arrête pas mon chéri, continue
Mon amour pour toi ne finira jamais
Tu as brisé mon cœur en mille morceaux
Apparemment ça ne suffit pas
Continue comme ça
Le temps est le remède à tout
Tu finiras par rentrer dans le droit chemin
Un jour tu le croiras
Le reste, c'est du blabla