Текст и перевод песни Enol - BAJÓN

BAJÓN

Te pienso de bajón
Silencio en el salón
De enero a enero, en un martes 13
Que te llevaste mi buena suerte
Ya no hay canciones que hablen de los dos

Estoy empezando a barajar la opción de que al dejarnos, se murió
Una versión de mí, ni mejor ni peor
Forzándome a conocer gente, huecos que no relleno
Y no puedo acelerar si aún sigo pisando el freno

Impecable, no faltó el broche
Más de deportivo que de niño en carricoche
Y yo que tengo un sello más caro que el primer coche que conduje
Ojalá estuvieras tú pa que vieras como reluce

Te pienso de bajón
Silencio en el salón
De enero a enero, en un martes 13
Que te llevaste mi buena suerte
Ya no hay canciones que hablen de los dos (de los dos)

Te dediqué mis ojeras más que un estribillo
Ya no quedan besos ni papelas en ese librillo
Quiero estar en tu boca como el filtro del cigarrillo
Que fumas cada mañana mientras saca el sol su brillo

Tú, princesa sin castillo, eras mi reina sin anillo
Sin dinero, a tu lado me sentía millo
Todo más sencillo cuando no salían sencillos
Y mi nombre no lo sabían las gradas, si no el banquillo

Ahora noches sin estrellas, tú ventana y yo pasillo
Y en el medio, nuestras dudas y promesas que rompimos
Vuelos de tres escalas que hubieras hecho conmigo
Y al final los hice solo y me supo como un castigo

Y ahora ya no hablo con nadie lo que solo hablé contigo
No me pidas que te abrace como si fuera tu amigo
Toas las cosas que callo luego borracho las digo
Y hoy hace frío fuera y no estás tú pa darme abrigo

Te pienso de bajón
Silencio en el salón
De enero a enero, en un martes 13
Que te llevaste mi buena suerte
Ya no hay canciones que hablen de los dos (de los dos)

BAJÓN

Je pense à toi avec le moral à zéro
Le silence règne dans le salon
De janvier à janvier, un mardi 13
Tu as emporté ma bonne étoile
Il n'y a plus de chansons qui parlent de nous deux

Je commence à envisager l'idée qu'en nous quittant, une version de moi est morte
Ni meilleure ni pire
Je me force à rencontrer des gens, des vides que je ne remplis pas
Et je ne peux pas accélérer si je continue à appuyer sur le frein

Impeccable, la touche finale n'a pas manqué
Plus sportif que bébé dans une poussette
Et moi, j'ai un timbre plus cher que la première voiture que j'ai conduite
J'aimerais que tu sois là pour voir comme ça brille

Je pense à toi avec le moral à zéro
Le silence règne dans le salon
De janvier à janvier, un mardi 13
Tu as emporté ma bonne étoile
Il n'y a plus de chansons qui parlent de nous deux (de nous deux)

Je t'ai dédié mes cernes plus qu'un refrain
Il ne reste plus de baisers ni de papier dans ce petit livre
Je veux être dans ta bouche comme le filtre de la cigarette
Que tu fumes chaque matin pendant que le soleil brille

Toi, princesse sans château, tu étais ma reine sans bague
Sans argent, à tes côtés, je me sentais millionnaire
Tout était plus simple quand les choses simples ne se présentaient pas
Et mon nom n'était pas connu des tribunes, mais du banc de touche

Maintenant, des nuits sans étoiles, toi à la fenêtre et moi dans le couloir
Et au milieu, nos doutes et les promesses que nous avons brisées
Des vols de trois escales que tu aurais faits avec moi
Et à la fin, je les ai faits tout seul et cela m'a semblé une punition

Et maintenant, je ne parle plus à personne de ce que je ne disais qu'à toi
Ne me demande pas de te prendre dans mes bras comme si j'étais ton ami
Toutes les choses que je cache, je les dis ensuite ivre
Et aujourd'hui, il fait froid dehors et tu n'es pas là pour me donner un peu de chaleur

Je pense à toi avec le moral à zéro
Le silence règne dans le salon
De janvier à janvier, un mardi 13
Tu as emporté ma bonne étoile
Il n'y a plus de chansons qui parlent de nous deux (de nous deux)