Текст и перевод песни Enrico Macias - Au talon de ses souliers

Au talon de ses souliers

Les rues des jours de marché qui comptent épargnoler
Par fumée d′orange et de piment
Un régime en d'olivier, bordé de citronniers avait une maison devant
Mes premières joies du cœur devant un champ de fleurs
Son marqué de roses et d′amitié
Quand je pense que ces instants, je sens que mon accent
Revient comme il était avant
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner
Les arcades tamisées où les petits cafés
Semblent s'allonger sur les trottoirs
La vieille maison de pierres, au coin du cimetière
Où dort notre page d'histoire
Les couleurs de la montagne
Sous le ciel qui s′enflamme, par le feu tout proche du désert
Ces autant de souvenirs, qu′on ne peut pas détruire
Pourtant ils nous ont fait souffrir
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner
Que l'on vive n′importe où, l'accent nous suit partout
Comme une ombre doublée d′un miroir
On le porte comme un drapeau, planté sur chaque mots
Depuis qu'on a pris le départ
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner
On emporte un peu sa ville
Aux talons de ses souliers
Quand pour vivre plus tranquille
On doit tout abandonner

At the Heels of Her Shoes

The streets of market days that count on saving money
With the smoke of orange and pepper
A diet of olives, lined with lemon trees had a house in front
My first joys of the heart in front of a field of flowers
Its market of roses and friendship
When I think of those moments, I feel that my accent
Comes back as it was before
We take a little bit of our city with us
At the heels of our shoes
When to live more peacefully
We must give up everything
The shaded arcades where the little cafes
Seem to stretch out onto the sidewalks
The old stone house, at the corner of the cemetery
Where our page of history sleeps
The colors of the mountains
Under the sky that ignites, by the fire near the desert
These are so many memories that we cannot destroy
Yet they made us suffer
We take a little bit of our city with us
At the heels of our shoes
When to live more peacefully
We must give up everything
Wherever we live, our accent follows us everywhere
Like a shadow doubled by a mirror
We carry it like a flag, planted on every word
Since we left
We take a little bit of our city with us
At the heels of our shoes
When to live more peacefully
We must give up everything
We take a little bit of our city with us
At the heels of our shoes
When to live more peacefully
We must give up everything