Текст и перевод песни Enrico Macias - Un refrain

Un refrain

Un refrain à pris son vol
Avec une ou deux paroles
Et s′en va dans les faubourgs
Chanter dans les cours
Un mendient sur son violon
Le répète sous un pont
Et bientôt on entendra que ce refrain là
Il commence sa randonné
Choisissons les plus vieux quartiers
Car c'est là qu′il peux rencontrer
Ce qui ont besoin de chanter
Il s'installe dans les maisons
En planant sur chaque balcon
Puis il saut après dans la rue
Et s'en va une fois connue
Un refrain à pris son vol
Avec une ou deux paroles
Et s′en va dans les faubourgs
Chanter dans les cours
Un mendient sur son violon
Le répète sous un pont
Et bientôt on entendra que ce refrain là
Sur la plaine les moissonneurs
Font des gerbes et le chante en cœur
Les nomades le joue le soir
En ballade sur leurs guitares
Il traverse tout le pays
Et rencontre beaucoup d′amis
Jusqu'au jour où les amoureux
Lui confie leurs cœurs deux à deux
Un refrain à pris son vol
Avec une ou deux paroles
Et s′en va dans les faubourgs
Chanter dans les cours
Un mendient sur son violon
Le répète sous un pont
Et bientôt on entendra que ce refrain là
Et le monde enthousiasmé
Ne veux plus que lui pour danser
Plus il monte et plus sait bien
Que bientôt se sera la fin
On s'en lasse alors on l′oubli
Dés que passe un moins vieux que lui
Mais il sait que pour bien des gens
C'est le refrain de leurs vingt ans
Un refrain à pris son vol
Avec une ou deux paroles
Pour aller dans les faubourgs
Chanter dans les cours
Le mendient au long des rues
Ne se doutait vraiment pas
Qu′un jour on entendrait plus que ce refrain là
Laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï .

A Refrain

A refrain took flight,
With a word or two,
And went into the suburbs,
To sing in the courtyards.
A beggar on his violin,
Repeats it under a bridge.
And soon we will hear that this refrain,
Has begun its journey.
Let us choose the oldest neighborhoods,
For it is there that it can meet,
Those who need to sing.
It settles in the houses,
Hovering over each balcony.
Then it jumps out into the street,
And leaves once it is known.
A refrain took flight,
With a word or two,
And went into the suburbs,
To sing in the courtyards.
A beggar on his violin,
Repeats it under a bridge.
And soon we will hear that this refrain,
On the plain the harvesters,
Make sheaves and sing it in chorus.
The nomads play it in the evening,
On their guitars as they wander.
It crosses the whole country,
And meets many friends,
Until the day the lovers,
Entrust their hearts to it, two by two.
A refrain took flight,
With a word or two,
And went into the suburbs,
To sing in the courtyards.
A beggar on his violin,
Repeats it under a bridge.
And soon we will hear that this refrain,
And the world is thrilled,
Wants to dance only to it.
The higher it climbs, the more it knows,
That soon it will be the end.
We tire of it and then forget it,
As soon as a younger one comes along.
But it knows that for many people,
It is the refrain of their twenties.
A refrain took flight,
With a word or two,
To go into the suburbs,
To sing in the courtyards.
The beggar in the streets,
Never really suspected,
That one day we would hear nothing but this refrain.
Laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï .