Текст и перевод песни Estopa - Me persiguen los maderos

Me persiguen los maderos

Estaba yo en los semáforos,
Vendiendo clínex pa' pagarme un pico,
Le doy una patá a una piedra, sale un madero,
Me dice que me vaya y yo no le replico.
Estaba yo vendiendo rulas,
En la esquina de tu calle que es la más chula,
De una papelera salen dos monillos,
Me dice que le enseñe lo de los bolsillos,
O si no, me llevan p'alante.
Si es que ya no se qué hacer,
Los maderos me persiguen por toda la ciudad,
Si no me dejan vender, tendré que robar.
No tengo a dónde ir,
Esta noche tendré que dormir en el pozo,
O si no, en el calabozo.
Unas rallas de farlopa y unos chutes de caballo,
Nos fumamos tres canutos y eres Dios.
Y estaba yo de trapicheo,
Discutiendo unos precios,
Aparecen cuatro zetas,
Aparcan los motoros,
Me registran los secretas,
Y me llevan p'alante,
Y me suben p'arriba,
Y me meten un puro,
Y me llevan p'al agujero.
Si es que ya no se qué hacer,
Los maderos me persiguen por toda la ciudad,
Si no me dejan vender, tendré que robar.
No tengo a dónde ir,
Esta noche tendré que dormir en el pozo,
O si no, en el calabozo.

Les flics me pourchassent

J'étais aux feux rouges,
Vendant des mouchoirs en papier pour me payer un joint,
J'ai donné un coup de pied à une pierre, un flic est sorti,
Il m'a dit de partir et je ne lui ai pas répondu.
J'étais en train de vendre des clopes,
Au coin de ta rue qui est la plus cool,
Deux voyous sont sortis d'une poubelle,
Ils m'ont dit de leur montrer ce qu'il y a dans mes poches,
Sinon, ils m'emmènent.
Je ne sais plus quoi faire,
Les flics me pourchassent dans toute la ville,
S'ils ne me laissent pas vendre, je devrai voler.
Je n'ai nulle part où aller,
Ce soir, je devrai dormir dans le fossé,
Sinon, au poste.
Quelques traces de coke et des shoots d'héroïne,
On fume trois joints et tu es Dieu.
Et j'étais en train de trafiquer,
En train de discuter des prix,
Quatre flics sont apparus,
Ils ont garé leurs motos,
Les flics en civil m'ont fouillé,
Et ils m'emmènent,
Et ils me mettent en haut,
Et ils me mettent un coup de poing,
Et ils m'emmènent au trou.
Je ne sais plus quoi faire,
Les flics me pourchassent dans toute la ville,
S'ils ne me laissent pas vendre, je devrai voler.
Je n'ai nulle part où aller,
Ce soir, je devrai dormir dans le fossé,
Sinon, au poste.