Текст и перевод песни Evan Vp feat. Kairo - Aquello Que Nunca Dijimos

Aquello Que Nunca Dijimos

Ya no puedo recordar,
Aquellos besos que nos dimos,
Cuando todo lo que estaba mal,
Era aquello que nunca dijimos,
Y ahora dos desconocidos,
Que no saben dónde van,
Pensando cuando llegó el final,
¿No sería mejor no habernos conocido?

Por cada error un? quédate?,
Pensando que podríamos haberlo hecho mejor que ayer,
Otra oportunidad que decepciona,
No hay manera de quererte sin beber tu belladona,
Y es que el miedo que atraviesa la pared,
Me gusta solamente cuando hay algo que perder,
Y ahí estás tú otra vez,
Mi fallo insalvable,
La puerta entreabierta,
A un infierno al que nunca olvidaré volver,
Mi dulce muerte escrita en el papel,
Mi apuesta sabiendo que voy a perder.

Ha pasado tanto tiempo desde aquella vez,
Y el mundo gira más lento ahora que no sacio tu sed.
Mi corazón tiene un ayer que no lo curará el mañana,
Y unas ansías por crecer y por huir de madrugada.
Quise recorrer los puntos cardinales de las palmas de tus manos,
Pero tú encontraste el norte en otros llantos,
Y ahora sólo queda el canto, de la vida,
Cuando no la doy por perdida.
Y tú te fuiste tan lejos que ya no recuerdo,
Si estuviste aquí alguna vez,
Pero puedo cerrar los ojos y te veo tan nítida,
Desnuda pero vestida, llorando con tu risa,
Y te podría jurar que nunca me sentí tan indefenso,
Como cuando me diste ese primer beso,
Fuiste mi peor pesadilla en mis mejores sueños.

Por cada error un? quédate?,
Pensando que podríamos haberlo hecho mejor que ayer,
Otra oportunidad que decepciona,
No hay manera de quererte sin beber tu belladona,
Y es que el miedo que atraviesa la pared,
Me gusta solamente cuando hay algo que perder,
Y ahí estás tú otra vez,
Mi fallo insalvable,
La puerta entreabierta,
A un infierno al que nunca olvidaré volver,
Mi dulce muerte escrita en el papel,
Mi apuesta sabiendo que voy a perder.

Se desnuda el amanecer,
Entre dudas tabaco y hiel,
Despiertos bajo cero en mi habitación,
Y no me atrevo a acariciarte,
Aun nos duele el placer de ayer,
Nuestra cruel paradoja,
Hasta en el jardín del edén,
Se marchitan las rosas.

Por cada error un? quédate?,
Pensando que podríamos haberlo hecho mejor que ayer,
Otra oportunidad que decepciona,
No hay manera de quererte sin beber tu belladona,
Y es que el miedo que atraviesa la pared,
Me gusta solamente cuando hay algo que perder,
Y ahí estás tú otra vez,
Mi fallo insalvable,
La puerta entreabierta,
A un infierno al que nunca olvidaré volver,
Mi dulce muerte escrita en el papel,
Mi apuesta sabiendo que voy a perder.

Ce que nous n'avons jamais dit

Je ne peux plus me souvenir,
De ces baisers que nous nous sommes donnés,
Quand tout ce qui n'allait pas,
C'était ce que nous n'avons jamais dit,
Et maintenant deux inconnus,
Qui ne savent pas où ils vont,
Pensant à quand la fin est arrivée,
Ne serait-il pas mieux de ne pas s'être rencontrés ?

Pour chaque erreur un ? Reste ?
Pensant que nous aurions pu faire mieux que hier,
Une autre chance qui déçoit,
Il n'y a aucun moyen de t'aimer sans boire ta belladone,
Et c'est que la peur qui traverse le mur,
J'aime ça seulement quand il y a quelque chose à perdre,
Et te voilà encore une fois,
Mon échec irréparable,
La porte entrouverte,
Vers un enfer où je ne manquerai jamais de revenir,
Ma douce mort écrite sur le papier,
Mon pari sachant que je vais perdre.

Il s'est écoulé tellement de temps depuis cette fois-là,
Et le monde tourne plus lentement maintenant que je ne rassasie pas ta soif.
Mon cœur a un hier que demain ne guérira pas,
Et une envie de grandir et de fuir à l'aube.
J'ai voulu parcourir les points cardinaux de la paume de tes mains,
Mais tu as trouvé le nord dans d'autres pleurs,
Et maintenant il ne reste que le chant, de la vie,
Quand je ne la donne pas pour perdue.
Et tu t'es envolée si loin que je ne me souviens plus,
Si tu étais ici un jour,
Mais je peux fermer les yeux et je te vois si nette,
Nue mais vêtue, pleurant avec ton rire,
Et je pourrais te jurer que je ne me suis jamais senti aussi impuissant,
Que lorsque tu m'as donné ce premier baiser,
Tu étais mon pire cauchemar dans mes meilleurs rêves.

Pour chaque erreur un ? Reste ?
Pensant que nous aurions pu faire mieux que hier,
Une autre chance qui déçoit,
Il n'y a aucun moyen de t'aimer sans boire ta belladone,
Et c'est que la peur qui traverse le mur,
J'aime ça seulement quand il y a quelque chose à perdre,
Et te voilà encore une fois,
Mon échec irréparable,
La porte entrouverte,
Vers un enfer où je ne manquerai jamais de revenir,
Ma douce mort écrite sur le papier,
Mon pari sachant que je vais perdre.

L'aube se dénude,
Entre le doute, le tabac et le fiel,
Eveillés sous zéro dans ma chambre,
Et je n'ose pas te caresser,
Le plaisir d'hier nous fait encore mal,
Notre cruelle paradoxie,
Même dans le jardin d'Éden,
Les roses se fanent.

Pour chaque erreur un ? Reste ?
Pensant que nous aurions pu faire mieux que hier,
Une autre chance qui déçoit,
Il n'y a aucun moyen de t'aimer sans boire ta belladone,
Et c'est que la peur qui traverse le mur,
J'aime ça seulement quand il y a quelque chose à perdre,
Et te voilà encore une fois,
Mon échec irréparable,
La porte entrouverte,
Vers un enfer où je ne manquerai jamais de revenir,
Ma douce mort écrite sur le papier,
Mon pari sachant que je vais perdre.