Текст и перевод песни Fabulas Aticas - Dulces Sueños

Dulces Sueños

Atado a tus manos como oveja
Que nunca se aparto de tu bella mirada
Aun así el pastor me mira como perverso
Ruégale al cielo me deje aquí preso

Dos niños caminan como locos
Buscando migas para poder regresar
Per ni migas tenia yo al salir de casa
En nombre de dios y el amor despiértame

Mírame cuídame como miras al que cumple
Enséñame cuídame que quiero volver a verte

Al diablo con el beso que me dejo aquí preso
Cansado de esperarte tienes que despertarme
No apuñales los sentidos que sostienen mis vestidos
No hay privilegios en los sueños para poder amar amar amar

Fantasías y formas abstractas
Que hoy forman parte de mi propia piel
Veo dos manos que tratan de retener el agua
Pero esta se derrama entre mis dedos ves

No he dejado de ser un don nadie
Estoy acostumbrado a ser un perro mas
Que lame las llagas del amo por ser sabio
Pensando que al final será como el es

Mírame cuídame como miras al que cumple
Enséñame cuídame que quiero volver a verte

Al diablo con el beso que me dejo aquí preso
Cansado de esperarte tienes que despertarme
No apuñales los sentidos que sostienen mis vestidos
No hay privilegios en los sueños para poder amar amar amar

Al diablo con el beso que me dejo aquí preso
Cansado de esperarte tienes que despertarme
No apuñales los sentidos que sostienen mis vestidos
No hay privilegios en los sueños para poder amar amar amar

Douces Rêves

Attaché à tes mains comme une brebis
Qui ne s'est jamais écarté de ton beau regard
Malgré cela, le berger me regarde comme un pervers
Supplie le ciel de me laisser ici prisonnier

Deux enfants marchent comme des fous
Cherchant des miettes pour pouvoir rentrer
Mais je n'avais aucune miette en quittant la maison
Au nom de Dieu et de l'amour, réveille-moi

Regarde-moi, protège-moi comme tu regardes celui qui remplit ses devoirs
Enseigne-moi, protège-moi, car je veux te revoir

Au diable avec le baiser qui m'a laissé ici prisonnier
Fatigué de t'attendre, tu dois me réveiller
Ne poignarde pas les sens qui soutiennent mes vêtements
Il n'y a pas de privilèges dans les rêves pour pouvoir aimer aimer aimer

Fantasmes et formes abstraites
Qui font aujourd'hui partie de ma propre peau
Je vois deux mains qui tentent de retenir l'eau
Mais elle se déverse entre mes doigts, tu vois

Je ne suis pas devenu un illustre inconnu
Je suis habitué à être un chien de plus
Qui lèche les plaies du maître pour être sage
Pensant qu'à la fin il sera comme lui

Regarde-moi, protège-moi comme tu regardes celui qui remplit ses devoirs
Enseigne-moi, protège-moi, car je veux te revoir

Au diable avec le baiser qui m'a laissé ici prisonnier
Fatigué de t'attendre, tu dois me réveiller
Ne poignarde pas les sens qui soutiennent mes vêtements
Il n'y a pas de privilèges dans les rêves pour pouvoir aimer aimer aimer

Au diable avec le baiser qui m'a laissé ici prisonnier
Fatigué de t'attendre, tu dois me réveiller
Ne poignarde pas les sens qui soutiennent mes vêtements
Il n'y a pas de privilèges dans les rêves pour pouvoir aimer aimer aimer