Текст и перевод песни Faron Young - Unmitigated Gall

Unmitigated Gall

(Mel Tillis)

Well, how can you have
The unmitigated gall
To come back now
Expecting me to fall.

Right down on my knees
And kiss your feet, yeah feet
Feet that one day
Went a walking out on me.

With a fast talking slob
You hardly knew his name
Your mind is
De-arranged.

And where did you get
The backbone and grit
To come back now
Expecting me to fit.

Right back into plans
That we once made
Plans that now are gone forever
To return never, ever.

I don′t want you anymore
So get away from my door.
And let me live, live, live
And let me live, live, live.

Don't come messin′
Up my life again
How can you have
The courage and the nerve.

To come back now
Expecting me to love you
After the way
That you've done me.

Guess you think
That I'm a fool
But you′re the one
That′s blew their cool.

I don't need you anymore
So get away from my door.

And let me live, live, live
And let me live, live, live...

Unmitigated Gall

(Mel Tillis)

Eh bien, comment pouvez-vous avoir
Le culot absolu
De revenir maintenant
En espérant que je tombe.

À genoux
Et vous embrasser les pieds, oui les pieds
Les pieds qui un jour
Vous ont abandonné.

Avec un crétin au bagout rapide
Vous avez à peine appris son nom
Votre esprit est
Dérangé.

Et où avez-vous trouvé
La colonne vertébrale et le courage
De revenir maintenant
En espérant que je me plie.

Dans les plans
Que nous avions faits autrefois
Des plans qui sont maintenant partis pour toujours
Pour ne jamais revenir, jamais.

Je ne veux plus de vous
Alors éloignez-vous de ma porte.
Et laissez-moi vivre, vivre, vivre
Et laissez-moi vivre, vivre, vivre.

Ne venez pas semer le trouble
Dans ma vie à nouveau
Comment pouvez-vous avoir
Le courage et le culot.

De revenir maintenant
En espérant que je vous aime
Après ce que
Vous m'avez fait.

Je suppose que vous pensez
Que je suis un imbécile
Mais c'est vous
Qui avez pété les plombs.

Je n'ai plus besoin de vous
Alors éloignez-vous de ma porte.

Et laissez-moi vivre, vivre, vivre
Et laissez-moi vivre, vivre, vivre...