Текст и перевод песни Five for Fighting - 2 Frogs

2 Frogs

I sing above my vision. I sing above my face.
A fat old amphibian speaker for the dead.
Gather round ye animals. Gather round this lake.
Take upon your vigil. Wallow in the wake.

It was glorious of glories-a maple April day
With a pocket full of horseflies and eyes as bright as rays
They said walk away walk away if you can
But one leap out the village and our caravan began

Traveled to a forest, nestled in the sky.
He ran beside the buffalo-wrestled with the lions
Every day a saturday, a summer waking morn,
His skin burned golden ember due the shine that toad had born.

While riding back an eagle, laughing with the sun
He spied an old hairy fairy man upon the river Young.
And Sol said, fly away fly away if you can
But he settled next the oarsman, said I'm my own man and this is my life...

Heed above my meter, Heed above my fate. Can't go back again...
I got a reason to be fevered-summer waking morn.
Back back when the poor poor boy was born.

Now cross into his fortune. While enchanted by the queen.
A lone shady shelter stood beckoning his lean.
And in the time it takes a pillow to figure out a face.
Out from in the white tree she rose to take its place.

And the battle for his spirit then caused him to remain.
And he fought as a thousand Visigoths and he cursed the night in vain.
She said run away run away if you can
But last he heard a voice of... I'm my own man and this is my life...

Off to in her castle, laid upon the stairs
She showered him with daffodils and tied ribbons in his hair.
He woke for bare a moment but she wouldn't let him weep.
With lips of only roses kissed him down to sleep.

So royal loyal subjects now let your ears unbend.
For here ye this traveled tail must sadly meet it's end.
What's fate done to our hero I cannot reply...
The last that I saw him, a flection in her eye.

2 Grenouilles

Je chante au-dessus de ma vision. Je chante au-dessus de mon visage.
Un vieux amphibien gras, porte-parole des morts.
Rassemblez-vous, animaux. Rassemblez-vous autour de ce lac.
Prenez votre poste. Roulez dans le sillage.

C'était glorieux de gloire - un jour d'avril en érable
Avec une poche pleine de mouches à cheval et des yeux brillants comme des rayons
Ils ont dit "Pars, pars si tu peux"
Mais un saut hors du village et notre caravane a commencé

Voyage vers une forêt, nichée dans le ciel.
Il a couru à côté du buffle - lutté contre les lions
Chaque jour un samedi, un réveil d'été,
Sa peau a brûlé d'ambre doré grâce à la brillance que le crapaud avait engendrée.

Alors qu'il retournait sur un aigle, riant avec le soleil
Il a repéré un vieux lutin poilu sur le fleuve Young.
Et Sol a dit "Envole-toi, envole-toi si tu peux"
Mais il s'est installé à côté du rameur, "Je suis mon propre homme et c'est ma vie..."

Fais attention au-dessus de mon compteur, fais attention au-dessus de mon destin. Je ne peux pas revenir en arrière...
J'ai une raison d'être fébrile - réveil d'été.
Retourne, retourne quand le pauvre, pauvre garçon est né.

Maintenant, traverse sa fortune. Tandis qu'il est enchanté par la reine.
Un abri ombragé solitaire se tenait à l'appel de sa maigreur.
Et dans le temps qu'il faut à un oreiller pour comprendre un visage.
De l'intérieur de l'arbre blanc, elle s'est levée pour prendre sa place.

Et la bataille pour son esprit l'a alors fait rester.
Et il s'est battu comme mille Wisigoths et il a maudit la nuit en vain.
Elle a dit "Fuis, fuis si tu peux"
Mais la dernière chose qu'il a entendue, c'était la voix de... "Je suis mon propre homme et c'est ma vie..."

Vers son château, étendu sur les marches
Elle l'a couvert de jonquilles et lui a noué des rubans dans les cheveux.
Il s'est réveillé un bref instant mais elle ne le laissait pas pleurer.
Avec des lèvres de roses uniquement, elle l'a embrassé jusqu'au sommeil.

Alors, sujets royaux et loyaux, laissez vos oreilles se détendre.
Car ici, vous devez tristement entendre la fin de cette histoire de voyage.
Ce que le destin a fait à notre héros, je ne peux pas répondre...
La dernière fois que je l'ai vu, un reflet dans son œil.