Текст и перевод песни Flobots - Journey After (War Fatigues)

Journey After (War Fatigues)

These songs won't write them selves and its going no where.
These words I see them some where
This path I walk by daylight
This bending corner is upon us don't know what to say by
May I may I take you forward?
I'm who you've always wanted
You don't know the order
Numbers I can make them plummet
I'm already at the summit
I already speak your language
You save yourself from anguish
I make myself a sandwich
I see the trickle of a brook over a fallen body
He wears the thistle we mistook him assault and robbery
So when they halt the bombing
Come meet me at the clearing
As results are coming we can see if practice matches theory
And then assess our losses and then we learn our lessons
Then we count the tragedies and triumphs and traumatic stressing
Get back – Get back - Back
Get back – Get back - Back
Get back – Get back - Back
Get back – Get back – Back
Cause these songs won't write them selves' and its going no where
When it's all worn off where do ya go
These songs don't write them selves' and it's going no where
When it's all worn off where do ya go
When it's all worn off where do ya go (When its all worn)
When it's all worn off where do ya go (worn off)
(When its all worn off)
When it's all worn off where do ya go
When its all worn off when its all worn (off)
When it's all worn off where do ya go
Where do ya go where do ya go
In the shadowed expanse between the distance of our hopes
I span from here to now with gossamer ropes
A broken bridge the only edge shakes with every passing step
We cannot repair all the things we have not kept
I've not wept enough in recent years to keep my eyes from drying up
I've slept enough in recent days to keep the flags of my dreams flying
The echoes of my empty heart are the closest things I have to screams
Fire at end and beginning so I fall to in-between
I wrought a treatise on busted guitar strings
Choked on cholesterol sentiments from aorta to arteries
With better aim then Artemis, gave key stone to arch enemies
Who swum in our midst like clown fish with sea anemones
Among death knells and threnodies and sex sells extremities
And health plans that promise better living through chemistry
I lost my identity, tossed to anonymity it's my apocalypse now
I'm saying now serenity
We didn't start the fire but provide the kindling
(When it's all worn off where do ya go)
We didn't start the fire but provided the kindling
(When it's all worn off where do ya go)
When it's all worn off where do ya go
When it's all worn off where do ya go
When it's all worn off where do ya go
When it's all worn off where do ya go (where do you go-oo)
When it's all worn off where do ya go(off)
When it's all worn off where do ya go
Meet me at the clearing
Now that the ons and offs of the bombs have stopped
Upon this common spot our common thoughts calm us
Costs promises lost comments draw us closer
Yes sir no sir pressures over
Open mouths for closure
Cry for how I lacked compassion
How I grasped your neck
You grasped for breath
I half confessed this
Friendship shell shocked
Made at the guillotine
Made at the crossroads
My trick is forgiveness
Fugue state I'm no philistine
You yelled stop I didn't hear you
Lovers leap from the mezzanine
Through hell hot on the path of gasoline
Know Christ know cross road block
Slick ice cold stop slow cries crowed
I denied you thrice I denied you that isn't right
Tried to cheat the game but had to decide
Played your turn ran out of your life
Boss codes at the crossroads
I'm glad you're alive
After my tongue licked clean and so clean
Traded the pain with numbness clean enough the pain is numb
I won't defend what I've done just could a been cleaner but I
Pray there's some kind of benefit from it prayed and wasn't mean enough
I would never do what I did my good meanings just
I would never do what I did made it worse what I did
Coulda been a good little boy i'm a coulda been cleaner left an
Big bad wolf wanna comeback kid abscess of indifference
Rags, wounds, incisions cold feet in a blizzard of indecision
War fatigues yes I wore fatigues
Fields cleanse made you hafta cleanse my bayonette
Til healed when it's all worn perform the surgery
When it's all worn off where do ya go
When it's all worn off where do ya go (off)
These songs won't write them selves and its going no where.

Le Voyage Après (Fatigue de la Guerre)

Ces chansons ne s'écriront pas toutes seules et ça ne mène nulle part.
Ces mots, je les vois quelque part.
Ce chemin que j'emprunte à la lumière du jour,
Ce virage qui se profile, je ne sais que dire.
Puis-je, puis-je te faire avancer ?
Je suis celui que tu as toujours désiré.
Tu ne connais pas l'ordre.
Des chiffres, je peux les faire chuter.
Je suis déjà au sommet.
Je parle déjà ta langue.
Tu te sauves de l'angoisse.
Je me prépare un sandwich.
Je vois le filet d'un ruisseau couler sur un corps gisant.
Il porte le chardon, nous l'avons pris pour un agresseur, un voleur.
Alors quand ils arrêteront les bombardements,
Viens me retrouver dans la clairière.
Alors que les résultats arrivent, nous pourrons voir si la pratique rejoint la théorie.
Et puis évaluer nos pertes et en tirer les leçons.
Puis compter les tragédies, les triomphes et le stress post-traumatique.
Revenir – Revenir - Revenir
Revenir – Revenir - Revenir
Revenir – Revenir - Revenir
Revenir – Revenir - Revenir
Car ces chansons ne s'écriront pas toutes seules et ça ne mène nulle part.
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Ces chansons ne s'écrivent pas toutes seules et ça ne mène nulle part.
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ? (Quand tout s'est estompé)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ? (s'est estompé)
(Quand tout s'est estompé)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, quand tout s'est estompé (s'est estompé)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Où vas-tu, où vas-tu ?
Dans l'étendue ombragée, entre la distance de nos espoirs,
Je m'étends d'ici à maintenant avec des cordes de fils de la Vierge.
Un pont brisé, le seul rebord, tremble à chaque pas.
Nous ne pouvons réparer toutes ces choses que nous n'avons pas gardées.
Je n'ai pas assez pleuré ces dernières années pour empêcher mes yeux de se dessécher.
J'ai assez dormi ces derniers jours pour que les drapeaux de mes rêves continuent de flotter.
Les échos de mon cœur vide sont ce que j'ai de plus proche de cris.
Le feu à la fin et au commencement, alors je tombe entre les deux.
J'ai rédigé un traité sur les cordes de guitare cassées,
Je me suis étouffé avec des sentiments de cholestérol, de l'aorte aux artères.
Avec une meilleure visée qu'Artémis, j'ai donné la clé de voûte à mes ennemis jurés,
Qui nageaient au milieu de nous comme des poissons-clowns avec des anémones de mer.
Entre les glas, les chants funèbres et le sexe qui vend des extrémités,
Et les régimes de santé qui promettent une vie meilleure grâce à la chimie.
J'ai perdu mon identité, jeté dans l'anonymat, c'est mon apocalypse maintenant.
Je dis maintenant sérénité.
Nous n'avons pas allumé le feu, mais nous avons fourni le petit bois.
(Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?)
Nous n'avons pas allumé le feu, mais nous avons fourni le petit bois.
(Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ? (où vas-tu ?)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ? (s'est estompé)
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Retrouve-moi dans la clairière.
Maintenant que les bombes ont cessé de tomber par intermittence,
En ce lieu commun, nos pensées communes nous apaisent.
Le coût, les promesses non tenues, les commentaires nous rapprochent.
Oui monsieur, non monsieur, la pression est retombée.
Des bouches ouvertes pour se taire.
Je pleure mon manque de compassion,
La façon dont j'ai saisi ton cou,
Tu as cherché ton souffle.
Je l'ai à moitié avoué,
Amitié en état de choc,
Née à la guillotine,
Née au carrefour.
Mon truc, c'est le pardon.
État de fugue, je ne suis pas un philistin.
Tu as crié "stop", je ne t'ai pas entendue.
Les amants sautent de la mezzanine,
À travers l'enfer, sur le chemin de l'essence.
Connaître le Christ, connaître le barrage routier de la croix,
Glace glissante, arrêt brutal, cris lents et rauques.
Je t'ai renié trois fois, je t'ai renié, ce n'est pas bien.
J'ai essayé de tricher au jeu, mais j'ai dû me décider.
Tu as joué ton tour, tu as manqué de vie.
Codes de triche au carrefour.
Je suis content que tu sois en vie.
Après que ma langue a été nettoyée, si propre,
J'ai échangé la douleur contre l'engourdissement, si propre que la douleur est engourdie.
Je ne défendrai pas ce que j'ai fait, j'aurais pu être plus propre, mais je
Prie pour qu'il y ait un quelconque bienfait à cela, j'ai prié et je n'ai pas été assez méchant.
Je ne referais jamais ce que j'ai fait, mes bonnes intentions ont juste...
Je ne referais jamais ce que j'ai fait, j'ai empiré les choses.
J'aurais pu être un gentil petit garçon, j'aurais pu être plus propre, j'ai laissé un
Grand méchant loup qui veut revenir, abcès d'indifférence.
Chiffons, blessures, incisions, pieds gelés dans un blizzard d'indécision.
Fatigue de la guerre, oui, j'ai porté des treillis.
Les champs purifient, tu as dû purifier ma baïonnette,
Jusqu'à la guérison, quand tout sera usé, pratique la chirurgie.
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ?
Quand tout s'est estompé, où vas-tu ? (s'est estompé)
Ces chansons ne s'écriront pas toutes seules et ça ne mène nulle part.