Текст и перевод песни Florent Pagny feat. Christophe Maé - Et un jour une femme

Et un jour une femme

D'avoir passé des nuits blanches à rêver
Ce que les contes de fées, vous laissez imaginer
D'avoir perdu son enfance dans la rue
Des illusions déçues passer inaperçu

D'être tombé plus bas que la poussière
Et à la Terre entière, en vouloir puis se taire
D'avoir laissé jusqu'à sa dignité
Sans plus rien demander
Qu'on vienne vous achever

Et un jour, une femme dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules comme elle porte tout le monde
Et jusqu'à bout de force recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes

Puis un jour une femme met sa main dans la vôtre
Pour vous parler d'un autre parce qu'elle porte tout le monde
Et jusqu'au bout d'elle-même vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde
L'amour qu'elle inonde

Jour après jour, vous redonne confiance
De toute sa patience vous remet debout
Trouver en soi un avenir peut-être
Mais surtout l'envie d'être
Ce qu'elle attend de vous

Et un jour, une femme dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules comme elle porte tout le monde
Et jusqu'à bout de force, recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes, vos plaies les plus profondes

Et un jour, cette femme met sa main dans la vôtre
Pour vous parler d'un autre parce qu'elle porte tout le monde
Et jusqu'au bout d'elle-même, vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde, par l'amour qu'elle inonde

Et un jour, cette femme dont le regard vous touche
Porte jusqu'à sa bouche le front d'un petit monde
Et jusqu'au bout de soi, lui donne tout ce qu'elle a
Chaque pas, chaque seconde, et jusqu'au bout du monde

Et jusqu'au bout du monde
Jusqu'au bout du monde
Et jusqu'au bout du monde
Jusqu'au bout du monde
Oui, jusqu'au bout du monde
Jusqu'au bout du monde
Parce qu'elle porte le monde

And one day a woman

To have spent sleepless nights dreaming
What fairy tales make you imagine
To have lost his childhood on the street
Disillusioned illusions go unnoticed

To have fallen lower than dust
And to the whole Earth, to want to and then be silent
To have left even his dignity
Without asking for anything more
That you come to finish me off

And one day, a woman whose gaze brushes against you
Carries you on her shoulders like she carries everyone else
And with her last ounce of strength, covers with her bark
Your deepest wounds

Then one day a woman puts her hand in yours
To tell you about another because she carries everyone else
And to the very end of herself, proves to you that she loves you
By the love she floods
The love she floods

Day after day, gives you confidence
With all her patience puts you back on your feet
To find a future in yourself, maybe
But above all, the desire to be
What she expects of you

And one day, a woman whose gaze brushes against you
Carries you on her shoulders like she carries everyone else
And with her last ounce of strength, covers with her bark
Your deepest wounds, your deepest wounds

And one day, this woman puts her hand in yours
To tell you about another because she carries everyone else
And to the very end of herself, proves to you that she loves you
By the love she floods, by the love she floods

And one day, this woman whose gaze touches you
Carries to her mouth the brow of a small world
And to the very end of herself, gives him everything she has
Every step, every second, and to the very end of the world

And to the very end of the world
To the very end of the world
And to the very end of the world
To the very end of the world
Yes, to the very end of the world
To the very end of the world
Because she carries the world