Текст и перевод песни Foe feat. Wednesday Indica - Free Soul

Free Soul

Said they wont let me in because my angel wings don't fit through the door
Told me I can attend if I cut them off and wear horns
I'll pass over
Deeds are eternal
Not the flesh as I write the feelings last night left
Soul in debt waiting for change from lies i've told
You've probably done the same
Caused a storm and flee from rain self estranged unsustained hunger pangs
Brain, washed
Time and time again you watch the clock as it ticks
Stiff
You pray for heaven as you inhale the scent details your tales
You feel you've failed train of thought derailed you yell
In a quiet room
Everybody stares
The elevator fell
As it was falling you were recalling all things you did evil
Calling for the keeper
The all see-er
Begging to live the doubt creeps in you cringe you feel instead of mercy your cries
Will be met with silence because violence begets violence
Blood shed for bread and shine baguette diamonds
All men are almonds
Lost in
Floss-in
Grim grins
Let he without sin cast the first stone
Glass shatters
Scattered trail of blood splatter fear isn't a factor taught
To be a sinner splendor to save the pastor from drowning in the pulpit
And whosoever digith the pit
Shall fall in it,they're all in it
Truth behind the lies
Smiles hide the cries
Songs mask the screams
Fabricated scenes seem to bind the seams of dreams now scream
Free soul,free soul,aaaahhhh
Free soul,free soul
Free soul
Free soul
Free soul

Âme libre

Ils m'ont dit qu'ils ne me laisseraient pas entrer parce que mes ailes d'ange ne passaient pas la porte.
Ils m'ont dit que je pouvais assister si je les coupais et portais des cornes.
Je passerai outre.
Les actes sont éternels.
Pas la chair, comme j'écris les sentiments de la nuit dernière.
Âme endettée attendant le changement des mensonges que j'ai dits.
Tu as probablement fait de même.
Tu as provoqué une tempête et tu t'es enfui de la pluie, tu t'es aliéné, tu n'as pas su te maintenir, tu as eu des douleurs à l'estomac.
Cerveau, lavé.
Encore et encore, tu regardes l'horloge qui tourne.
Rigide.
Tu pries pour le ciel tandis que tu inspires l'odeur des détails de tes contes.
Tu sens que tu as échoué, le fil de ta pensée a déraillé, tu cries.
Dans une pièce calme.
Tout le monde regarde.
L'ascenseur est tombé.
En tombant, tu te rappelais toutes les choses que tu avais faites de mal.
Appelant le gardien.
Celui qui voit tout.
Suppliant de vivre, le doute s'installe, tu grimaces, tu sens que tes pleurs ne seront pas accueillis avec de la miséricorde.
Ils seront accueillis par le silence, car la violence engendre la violence.
Du sang versé pour le pain et des diamants brillants de baguette.
Tous les hommes sont des amandes.
Perdu dans.
Floss-in.
Sourires sinistres.
Que celui qui est sans péché jette la première pierre.
Le verre se brise.
Une traînée dispersée de sang éclaboussé, la peur n'est pas un facteur enseigné.
Être un pécheur, une splendeur pour sauver le pasteur de la noyade dans la chaire.
Et quiconque creuse la fosse.
Y tombera, ils sont tous dedans.
La vérité derrière les mensonges.
Les sourires cachent les pleurs.
Les chants masquent les cris.
Des scènes fabriquées semblent lier les coutures des rêves, maintenant, crie.
Âme libre, âme libre, aaaahhhh.
Âme libre, âme libre.
Âme libre.
Âme libre.
Âme libre.