Текст и перевод песни Foyone feat. Jokerfeller - DNC'$

DNC'$

Con el estado mental de un multimillonario llego,
mis ojos son rubís, mi mirada es de fuego
no tengo lo que quiero pero quiero lo que tengo
estoy orgulloso de la droga que te vendo primo
Chavales en el barrio
tol día endrogados huyendo del comisario
bocas con caries, Cristo, milagros,
con una recortada y buscando el fajo
Y yo contando mis dólares mentales en el banco
tranquilamente, fumando
el numero uno el nuevo rey del mundo
bebo codeína y se paran los segundos
Conduzco voy mirando luces primo
trato de no perder un dólar en mis asuntos
el capo fue Pablo, saben de lo que hablo
haciendo dinero en la calle drogado
La necesidad que tiene el que roba pa comer (DNC!)
la necesidad que tiene el que roba pa comer (Delincuentes)
la necesidad que tiene el que roba pa comer (de na compramos primo)
la necesidad que tiene el que roba pa comer (en la puta calle)
Encerrado en un lavabo
soy esclavo de momentos privados
sin picar ni la roca, tu calla y chupa loca
ya ves que no estoy constipado
Me lavo la conciencia
tantas veces tía que es un insulto a mi inteligencia,
vivo en el caos todo trastornao,
llego el otoño sueños aparcaos
Diseños de coños con los que hemos soñao todos
Spas y cristales ahumados, fajos,
sin trabajo acelerado, lo robamos por plazos
vacilando de estilazo sin chorreones, DNC, palancazo
Paso yo no me caso con nadie
ni construyo castillos en el aire,
prefiero putas con cámaras de aire y que explote el juez y el caso,
por mi que vuelen en pedazos

DNC'$

J'arrive avec l'état mental d'un milliardaire,
mes yeux sont des rubis, mon regard est de feu
je n'ai pas ce que je veux mais je veux ce que j'ai
je suis fier de la drogue que je te vends mon pote
Des jeunes dans le quartier
tout le temps défoncés en fuite devant le commissaire
bouches cariées, Jésus, miracles,
avec une arme et à la recherche du pactole
Et moi je compte mes dollars mentaux à la banque
tranquillement, en fumant
le numéro un le nouveau roi du monde
je bois de la codéine et les secondes s'arrêtent
Je conduis, je regarde les lumières mon pote
j'essaie de ne pas perdre un dollar dans mes affaires
le boss c'était Pablo, tu sais de quoi je parle
en faisant de l'argent dans la rue défoncé
Le besoin qu'a celui qui vole pour manger (DNC!)
le besoin qu'a celui qui vole pour manger (Délinquants)
le besoin qu'a celui qui vole pour manger (on achète rien mon pote)
le besoin qu'a celui qui vole pour manger (dans la rue)
Enfermé dans des toilettes
je suis esclave de moments privés
sans toucher ni à la pierre, tais-toi et suce mon pote
tu vois que je ne suis pas enrhumé
Je me lave la conscience
tant de fois ma chérie que c'est une insulte à mon intelligence,
je vis dans le chaos tout perturbé,
l'automne arrive les rêves sont garés
Des dessins de chattes dont on a tous rêvé
Spas et vitres fumées, paquets de billets,
sans travail accéléré, on les vole par tranches
se pavanant avec style sans avoir de thunes, DNC, coup de poing
Je passe, je ne me marie avec personne
ni je ne construis de châteaux dans le ciel,
je préfère les putes avec des chambres à air et que le juge et l'affaire explosent,
pour moi qu'ils s'envolent en morceaux