Текст и перевод песни France Gall - Les Princes des villes (Best of Live)

Les Princes des villes (Best of Live)

Briller comme une étoile filante
C′est l'aventure qui les tente
Et puis cet étrange pouvoir
Qui s′est glissé dans leur regard
Vivre plus vite que les autres
Avoir un pied dans le futur
Vivre des rêves qui sont les nôtres
Et obéir à sa nature
Puisque rien ne dure
Vraiment
Mais les princes des villes
N'ont pas besoin d'armure
Dans les grandes voitures
Les rêves sont faciles
Et leurs nuits de vinyl
Sont collées sur les murs
Mais rien n′est vraiment sûr
Et l′avenir fragile
Pour les princes des villes
Des idées bizarres
Vibrent au rythme des guitares
Des rock'n′roll stars
Qu'on les adore, qu′on les jalouse
Comme des maîtresses andalouses
Qu'on leur élève des statues
Qu′on les affiche dans les rues
Mais au matin d'un nouveau jour
Qu'on les piétine, qu′on les insulte
Qu′on établisse de nouveaux cultes
Et qu'on les oublie pour toujours
Puisque rien ne dure
Vraiment
Mais les princes des villes
N′ont pas besoin d'armure
Dans les grandes voitures
Les rêves sont faciles
Et leurs nuits de vinyl
Sont collées sur les murs
Mais rien n′est vraiment sûr
Et l'avenir fragile
Pour les princes des villes
Des idées bizarres
Vibrent au rythme des guitares
Des rock′n'roll stars
Des rêves et des mots
Vibrent au rythme des pianos
Du rock'n′roll show.

City Princes (Best of Live)

Shining like a shooting star
That's the adventure that tempts them
And then this strange power
That has crept into their gaze
To live faster than others
To have a foot in the future
To live the dreams that are ours
And to obey its nature
Since nothing lasts
Really
But the city princes
Don't need armor
In the big cars
Dreams come easy
And their vinyl nights
Are glued to the walls
But nothing is really sure
And the future is fragile
For the city princes
Bizarre ideas
Vibrate to the rhythm of the guitars
Of the rock'n'roll stars
Whether we adore them, whether we envy them
Like Andalusian mistresses
We erect statues for them
We display them in the streets
But in the morning of a new day
We trample on them, we insult them
We establish new cults
And we forget about them forever
Since nothing lasts
Really
But the city princes
Don't need armor
In the big cars
Dreams come easy
And their vinyl nights
Are glued to the walls
But nothing is really sure
And the future is fragile
For the city princes
Bizarre ideas
Vibrate to the rhythm of the guitars
Of the rock'n'roll stars
Dreams and words
Vibrate to the rhythm of the piano
Of the rock'n'roll show.