Текст и перевод песни Francisco Montoya - Apure Yo Soy Tu Hijo

Apure Yo Soy Tu Hijo

Aaaaaah, Apure yo soy tu hijo
Te quiero con toda mi alma,
Con toda mi alma
Cuando recuerdo de ti
Se me resaltan las lagrimas,
Triste me pongo a llorar
Pensando en aquellas palmas,
Que me brindaban sus sombras
Cuando por ellas pasaba
También muy triste recuerdo
De tu linda tierra llana,
El campo donde me crié
Y en los que yo parrandeaba,
Las inmensas travesías
Quel pajonal engalana,
El trillo de los caminos cuando
Llega las entra de agua,
Los totales florecidos
Con bancos y alcaravanes,
Aquellas calcetas viejas donde
Siempre pastoreaba Apure
Como te digo soy tu hijo
Y me reclamas, que debo de estar
Contigo en la región Araucana
Amansando cachilapos y novillas orejanas.

Aaaaaah, apreciado Estado Apure,
Es tu hijo quien te llama para
Que oigas mi cantar al despertar la
Mañana y en este seis
Por derecho con aires de una tonada,
Te voy a ser un juramento lindo
Apure de mi alma que dejare de
Cantarte el día que caiga en la cama,
Te pido que cuando muera
No me repiques campas déjame
Oír un joropo cuando vayan a
Enterrarme que así bajare al
Sepulcro sin preciso de rezarme
Y se vestirá de luto hasta
La misma sabana, me despido
Estado Apure llanura Venezolana,
Adiós te dice tu hijo
Senderos de tierra plana.

*Maricurby*

Apure, je suis ton fils

Aaaaaah, Apure je suis ton fils
Je t'aime de toute mon âme,
De toute mon âme
Quand je me souviens de toi
Mes larmes me montent aux yeux,
Triste, je me mets à pleurer
En pensant à ces palmiers,
Qui m'offraient leur ombre
Quand je passais dessous
Je me souviens aussi avec tristesse
De ta belle terre plate,
La campagne où j'ai grandi
Et où je faisais la fête,
Les immenses traversées
Que la savane pare,
Le sentier des chemins quand
Arrive les crues,
Les totaux fleuris
Avec des bancs et des courlis,
Ces vieilles chaussettes où
Apure a toujours fait paître
Comme je te le dis, je suis ton fils
Et tu me réclames, que je dois être
Avec toi dans la région Araucanienne
Apprivoisant les poulains et les pouliches orejanas.

Aaaaaah, cher État d'Apure,
C'est ton fils qui t'appelle pour
Que tu entendes mon chant au réveil du
Matin et en ce six
Par droit avec des airs d'une chansonnette,
Je vais te faire un serment, beau
Apure de mon âme que je cesserai de
Te chanter le jour où je tomberai dans le lit,
Je te demande que quand je mourrai
Ne me sonnez pas les cloches, laissez-moi
Entendre un joropo quand ils iront
M'enterrer, que c'est ainsi que je descendrai au
Tombeau sans avoir besoin de prier
Et elle s'habillera de deuil jusqu'à
La savane elle-même, je te dis adieu
État d'Apure, plaine du Venezuela,
Adieu, te dit ton fils
Sentiers de terre plate.

*Maricurby*