Текст и перевод песни Frank Ifield - Abdul Abulbul Amir

Abdul Abulbul Amir

The sons of the prophet are brave men and bold
And quite unaccustomed to fear
And the bravest and bold was a man, I am told
Called Abdul Abulbul Amir

Now heroes were plenty and well-known to fame
In the troops that were led by the Czar,
And the bravest of same was a man by the name
Of Ivan Skavinsky Skivar

He could imitate Irving, play poker and pool
And strum on a Spanish Guitar
In fact, quite the cream of the Muscovite team
Was Ivan Skavinsky Skivar

One day this bold Russian had shouldered his gun
And walked down the streets with a sneer
Downtown he did go, where he trod on the toe
Of Abdul Abulbul Amir

"Young man," quote Abdul, "has your life grown so dull
That you wish to end your career?
Vile infidel! Know, you have trod on the toe of Abdul Abulbul Amir"

"So take your last look at the sunshine and brook
And send your regrets to the Czar
By this I imply you are going to die, count Ivan Skavinsky Skivar"

Said Ivan, "My friend, your remarks, in the end
Will avail you but little, I fear
For you ne'er will survive to repeat them alive
Mr. Abdul Abulbul Amir!"

They fought all that night, 'neath the moon shining bright
The battle was heard from afar
The police came in time to exchange the last line
Of Abdul and Skavinsky Skivar

Now a tomb rises up where the blue Danube flows
Engraved there in characters clear
"Ah, stranger, when passing, please pray for the soul
Of Abdul Abulbul Amir"

A Muscovite maiden her lone vigil keeps
'Neath the light of the pale polar star
And the name that she murmurs as oft as she weeps
Is Ivan Skavinsky Skivar

Abdul Abulbul Amir

Les fils du prophète sont des hommes braves et audacieux
Et assez peu habitués à la peur
Et le plus brave et audacieux était un homme, on me l'a dit
Appelé Abdul Abulbul Amir

Maintenant, les héros étaient nombreux et bien connus de la gloire
Dans les troupes qui étaient dirigées par le Tsar,
Et le plus brave d'entre eux était un homme du nom
D'Ivan Skavinsky Skivar

Il pouvait imiter Irving, jouer au poker et au billard
Et jouer de la guitare espagnole
En fait, la crème de l'équipe moscovite
Était Ivan Skavinsky Skivar

Un jour, ce brave Russe avait mis son fusil sur son épaule
Et marchait dans les rues avec un sourire narquois
Il est allé en ville, où il a marché sur les pieds
D'Abdul Abulbul Amir

"Jeune homme," dit Abdul, "ta vie est-elle devenue si terne
Que tu veux mettre fin à ta carrière ?
Infidèle vil ! Sache que tu as marché sur les pieds d'Abdul Abulbul Amir"

"Alors, regarde un dernier coup d'œil au soleil et au ruisseau
Et envoie tes regrets au Tsar
Par ceci je veux dire que tu vas mourir, compte Ivan Skavinsky Skivar"

Dit Ivan, "Mon ami, tes remarques, à la fin
Ne te serviront à rien, je crains
Car tu ne survivras jamais pour les répéter en vie
Monsieur Abdul Abulbul Amir !"

Ils se sont battus toute la nuit, sous la lueur de la lune brillante
La bataille a été entendue de loin
La police est arrivée à temps pour échanger la dernière ligne
D'Abdul et Skavinsky Skivar

Maintenant, un tombeau s'élève là où coule le Danube bleu
Gravé là-bas en caractères clairs
"Ah, étranger, en passant, prie pour l'âme
D'Abdul Abulbul Amir"

Une jeune fille moscovite garde sa veillée solitaire
Sous la lumière de l'étoile polaire pâle
Et le nom qu'elle murmure aussi souvent qu'elle pleure
Est Ivan Skavinsky Skivar