Текст и перевод песни Fun. - The Gambler (iTunes Session)

The Gambler (iTunes Session)

Slow down, we've got time left to be lazy
All the kids are bloom from babies into flowers in our eyes
We've got fifty good years left to spend out in the garden
I don't care to beg your pardon, we should live until we die
We were barely eighteen when we crossed collective hearts
It was cold, but it got warm when you barely crossed my eye
And then you turned, put out your hand and you asked me to dance
I knew nothing of romance, but it was love at second sight
I swear when I grow up I won't just buy you a rose
I will buy the flower shop and you will never be lonely
For even if the sun stops waking up over the fields
I will not leave, I will not leave till it's on time
So just take my hand and know that I will never leave your side
It was the winter of '86, all the fields had frozen over
So we moved to Arizona to save our only son
And now he's turned into a man, though he thinks just like his mother
He believes we're all just lovers, he sees hope in everyone
And even though she moved away, we always get calls from our daughter
She has eyes just like her father's, they are blue when skies are gray
And just like him she never stops, never takes the day for granted
Works for everything that's handed to her, never once complained
You think that I nearly lost you when the doctors tried to take you away
But like the night you took my hand beside the fire thirty years ago
To this day, you swore you'd be here till we decide that it's our time
But it's not time, you never quit in all your life
So just take my hand and know that I will never leave your side
You're the love of my life, you know that I will never leave your side
You come home from work, and you kiss me on the eye
You curse the dogs, you say that I should never feed them what is ours
And so we move out to the garden, look at everything we've grown
And the kids are coming home so I'll set the table; you can make the fire

Le Joueur (Session iTunes)

Ralentis, il nous reste du temps pour être paresseux
Tous les enfants fleurissent, des bébés aux fleurs dans nos yeux
Il nous reste cinquante bonnes années à passer dans le jardin
Je ne demande pas pardon, nous devrions vivre jusqu'à ce que nous mourions
Nous avions à peine dix-huit ans quand nous avons croisé des cœurs collectifs
Il faisait froid, mais ça s'est réchauffé quand tu as à peine croisé mon regard
Et puis tu t'es retournée, tu as tendu la main et tu m'as demandé de danser
Je ne savais rien de la romance, mais c'était l'amour au premier regard
Je te jure que quand je serai grand, je ne t'achèterai pas juste une rose
J'achèterai le fleuriste et tu ne seras plus jamais seule
Car même si le soleil cesse de se réveiller au-dessus des champs
Je ne partirai pas, je ne partirai pas tant que ce ne sera pas le moment
Alors prends ma main et sache que je ne quitterai jamais ton côté
C'était l'hiver 86, tous les champs étaient gelés
Alors on a déménagé en Arizona pour sauver notre fils unique
Et maintenant il est devenu un homme, même s'il pense comme sa mère
Il croit que nous sommes tous des amants, il voit l'espoir en chacun
Et même si elle est partie, on reçoit toujours des appels de notre fille
Elle a les yeux comme son père, ils sont bleus quand le ciel est gris
Et comme lui, elle ne s'arrête jamais, elle ne prend jamais la journée pour acquise
Elle travaille pour tout ce qu'on lui donne, elle ne s'est jamais plainte
Tu crois que j'ai failli te perdre quand les médecins ont essayé de te prendre
Mais comme la nuit où tu as pris ma main à côté du feu il y a trente ans
À ce jour, tu as juré que tu serais là jusqu'à ce que nous décidions que c'est notre heure
Mais ce n'est pas le moment, tu n'as jamais abandonné de ta vie
Alors prends ma main et sache que je ne quitterai jamais ton côté
Tu es l'amour de ma vie, tu sais que je ne quitterai jamais ton côté
Tu rentres du travail et tu m'embrasses sur l'œil
Tu maudis les chiens, tu dis que je ne devrais jamais leur donner ce qui est à nous
Et on va au jardin, on regarde tout ce qu'on a fait pousser
Et les enfants rentrent à la maison, alors je vais mettre la table, tu peux faire le feu