Текст и перевод песни Funda Arar feat. Enbe Orkestrasi - Hafıza

Hafıza

Sen Uyuyormusun
Uyuma... Uyuma
Kalk, cesur ol biraz
Gel Yanıma, Yanıma...
En azından hissedersin belki de bu şarkıyla gördüğün rüya bölünür of
Daha önce ölmüş olsam,
İnan bana senle tekrar ölünür, ölünür
Hiç atası yok başkasına
Kalbim ait oldu belki de bir tek sana, sana
Hiç arası yok ayrılıkla
O lafı duymak istemem ki asla bir daha, bir daha
Hiç anısı yok başkasıyla sanki herşey birden gitti hafıza, hafıza
Bi kaçası yok Allah, Allah
Yoksa sende burdan gider miyiz sonsuza, sonsuza
Sağ tarafa herkes, sen soluma kalbin yanına
Aşk itiyor bizi, bu duruma onu suçlama
En azından hissedersin belki de bu şarkıyla gördüğün rüya bölünür of
Daha önce ölmüş olsam,
İnan bana senle tekrar ölünür, ölünür
Hiç atası yok başkasına
Kalbim ait oldu belki de bir tek sana, sana
Hiç arası yok ayrılıkla
O lafı duymak istemem ki asla bir daha, bir daha
Hiç anısı yok başkasıyla sanki herşey birden gitti hafıza, hafıza
Bi kaçası yok Allah, Allah
Yoksa sende burdan gider miyiz sonsuza, sonsuza

Hafıza

Dormes-tu ?
Ne dors pas... Ne dors pas
Réveille-toi, prends un peu de courage
Viens près de moi, près de moi...
Peut-être cela te fera sentir, au moins, que cette chanson vient interrompre ton rêve, oh
Même si j'étais morte avant,
Crois-moi, avec toi, je mourrais à nouveau, je mourrais
Personne d'autre n'est son père
Mon cœur t'appartient peut-être, à toi, et à toi seul(e)
Il n'y a aucun moyen de se séparer
Je ne veux plus jamais entendre ce mot, jamais, jamais
Aucun souvenir avec quelqu'un d'autre, comme si tout s'était envolé d'un coup, mémoire, mémoire
Il n'y a pas d'issue, mon Dieu, mon Dieu
Ou bien, est-ce que nous partirons d'ici pour toujours, pour toujours
Tout le monde à droite, toi à ma gauche, là où est ton cœur
L'amour nous pousse à cela, ne le blâme pas
Peut-être cela te fera sentir, au moins, que cette chanson vient interrompre ton rêve, oh
Même si j'étais morte avant,
Crois-moi, avec toi, je mourrais à nouveau, je mourrais
Personne d'autre n'est son père
Mon cœur t'appartient peut-être, à toi, et à toi seul(e)
Il n'y a aucun moyen de se séparer
Je ne veux plus jamais entendre ce mot, jamais, jamais
Aucun souvenir avec quelqu'un d'autre, comme si tout s'était envolé d'un coup, mémoire, mémoire
Il n'y a pas d'issue, mon Dieu, mon Dieu
Ou bien, est-ce que nous partirons d'ici pour toujours, pour toujours