Текст и перевод песни Gaye Su Akyol - Yıllar Yılan

Yıllar Yılan

Kayboldum kanadında beni çıkar ya aşk
Koymuyor ilacını yamacıma
Anlamıyor acımı acıdan ölüyorum bak
Buralar hep ızdırap
Boşver beni sen ağla giden o hayale
Filler gibi uçan geleceğe
Kavrulur odalar aynadaki gül cemale
İçine kaçan heveslere
Kimse anlamaz cürmü yakar
Kirden nehir durmaz akar
Titrer duman kabus yağar
Öldürmedi bu yıllar yılan
Kayboldum damarında beni çıkar ya aşk
Koymuyor ilacını yamacıma
Anlamıyor acımı acıdan ölüyorum bak
Buralar hep ızdırap
Boşver beni sen ağla giden o hayale
Filler gibi uçan geleceğe
Kavrulur odalar aynadaki gül cemale
İçine kaçan heveslere
Kimse anlamaz cürmü yakar
Kirden nehir durmaz akar
Titrer duman kabus yağar
Öldürmedi bu yıllar yılan
Anlamaz o cürmü yakar
Kirden nehir durmaz akar
Titrer duman kabus yağar
Öldürmedi bu yıllar yılan

Des années, un serpent

Je me suis perdue dans tes ailes, tire-moi de là, mon amour
Il ne me donne pas son remède, il ne le pose pas sur ma plaie
Il ne comprend pas ma douleur, je meurs de douleur, regarde
Tout ici est souffrance
Laisse-moi tranquille, pleure pour ce rêve qui s'en est allé
Comme des éléphants, tu t'envoles vers le futur
Les chambres brûlent, la beauté de la rose dans le miroir
Pour ces envies qui se sont enfouies en toi
Personne ne comprend son crime, il brûle
La rivière de la saleté ne cesse de couler
La fumée tremble, le cauchemar tombe
Ces années, ce serpent, ne m'ont pas tuée
Je me suis perdue dans tes veines, tire-moi de là, mon amour
Il ne me donne pas son remède, il ne le pose pas sur ma plaie
Il ne comprend pas ma douleur, je meurs de douleur, regarde
Tout ici est souffrance
Laisse-moi tranquille, pleure pour ce rêve qui s'en est allé
Comme des éléphants, tu t'envoles vers le futur
Les chambres brûlent, la beauté de la rose dans le miroir
Pour ces envies qui se sont enfouies en toi
Personne ne comprend son crime, il brûle
La rivière de la saleté ne cesse de couler
La fumée tremble, le cauchemar tombe
Ces années, ce serpent, ne m'ont pas tuée
Il ne comprend pas son crime, il brûle
La rivière de la saleté ne cesse de couler
La fumée tremble, le cauchemar tombe
Ces années, ce serpent, ne m'ont pas tuée