Текст и перевод песни Gemelli Diversi - Tu corri!

Tu corri!

Ehi, questa mattina giù al parco, sai si parlava di quando
Ci si allenava nel fango e il mondo lo si scopriva giocando
Ricordi il tipo che parlava poco?
Lui già vedeva il suo scopo, dentro lo sguardo bruciava quel fuoco

Amava il gioco, amava il suo pallone
Viveva per diventare il migliore, lo si chiamava il campione
Sembrava un uomo con le sue scarpette addosso
Guardava avanti fisso e diceva a sé

Ci sei solo tu, con quella porta davanti
E un tiro da segnare che aspetta per svelarti se
Tutti quei sogni per cui tu corri
Li meriti davvero o son solo illusioni folli
Solo tu e quella porta più in là
Sotto i fischi di tutti quando quel tiro non va
Particolari sciocchi
Se bari si vede dagli occhi
Niente paura tu corri, tu corri
Niente paura, tu corri

In questa vita niente è dato per niente, diceva continuamente
Quel ragazzino già grande coi sogni da adolescente
Nel campetto tra i palazzi si allenava al mondo
Metteva il cuore sul campo e mostrava il suo talento

Attento ad ogni appunto dell'allenatore
Cresceva col suo pallone, la stoffa del giocatore
Un campione coi sogni impressi negli occhi
Suo padre là sugli spalti si rivedeva in carriera quando giocava ai suoi tempi

Per non deluderlo fece un provino e subito
Si ritrovò con un contratto in fronte al grande pubblico
Vide i suoi sogni realizzati in un lampo
Il ragazzino ora un uomo che da' spettacolo in campo

Ed è l'orgoglio del padre e di tutta la famiglia
Negli occhi lo stesso fuoco e quando combatte nell'area
Mette la voglia, fantasia, altruismo per la sua squadra
Mentre ripete a sé stesso cercando la sua vittoria

Ci sei solo tu, con quella porta davanti
E un tiro da segnare che aspetta per svelarti se
Tutti quei sogni per cui tu corri
Li meriti davvero o son solo illusioni folli
Solo tu e quella porta più in là
Sotto i fischi di tutti quando quel tiro non va
Particolari sciocchi
Se bari si vede dagli occhi
Niente paura tu corri, tu corri

Solo tu sotto i fischi di tutti se quel tiro non va
Niente paura tu corri

Mentre dall'alto dei gradini, per bambini ed ultras
Sei uno che ama tutto quello che fa, problemi non ha
Che non fatica, tu sai che non è così ma
Quello guarda la tua vita da là in fondo, che ne sa

Di chi rovina quello per cui tu vivi
Attaccanti sorridenti, finti e spenti trasformati in bimbi
Col conto pieno e un matrimonio sincero
O con donne che mai hanno amato davvero

Ecco perché fermarsi qui troppo facile ormai
E dire basta così ti rende fragile sai
Ora che quello che hai non brilla più come oro
Non pensi a falsi e donne ipocrite, tu dentro non sei come loro

Non è la grana che ti spinge, ma è la voglia
Di essere un nome inciso a fuoco nella storia
Come una luce da seguire
Con la stessa frase in testa impressa fino alla fine

Ci sei solo tu, con quella porta davanti
E un tiro da segnare che aspetta per svelarti se
Tutti quei sogni per cui tu corri
Li meriti davvero o son solo illusioni folli
Solo tu e quella porta piu in là
Sotto i fischi di tutti quando quel tiro non va
Particolari sciocchi
Se pari si vede dagli occhi
Niente paura tu corri, tu corri

Solo tu, solo tu, sotto i fischi di tutti se quel tiro non va
Particolari sciocchi, se pari si vede dagli occhi
Niente paura, tu corri

Tu cours!

Hé, ce matin au parc, tu sais on parlait de quand
On s'entraînait dans la boue et on découvrait le monde en jouant
Tu te souviens du gars qui parlait peu ?
Lui, il voyait déjà son but, dans son regard brûlait ce feu

Il aimait le jeu, il aimait son ballon
Il vivait pour devenir le meilleur, on l'appelait le champion
Il ressemblait à un homme avec ses crampons aux pieds
Il regardait droit devant et se disait

Il n'y a que toi, avec ce but devant
Et un tir à marquer qui attend pour te révéler si
Tous ces rêves pour lesquels tu cours
Tu les mérites vraiment ou ce ne sont que des illusions folles
Seulement toi et ce but plus loin
Sous les sifflets de tous quand ce tir ne rentre pas
Détails stupides
Si tu triches, ça se voit dans tes yeux
N'aie pas peur, tu cours, tu cours
N'aie pas peur, tu cours

Dans cette vie, rien n'est donné, disait-il continuellement
Ce gamin déjà grand avec ses rêves d'adolescent
Sur le terrain vague entre les immeubles, il s'entraînait au monde
Il mettait son cœur sur le terrain et montrait son talent

Attentif à chaque remarque de l'entraîneur
Il grandissait avec son ballon, l'étoffe du joueur
Un champion avec des rêves gravés dans les yeux
Son père, là dans les tribunes, se revoyait en carrière quand il jouait à son époque

Pour ne pas le décevoir, il a fait un essai et aussitôt
Il s'est retrouvé avec un contrat devant le grand public
Il a vu ses rêves se réaliser en un éclair
Le gamin est maintenant un homme qui assure le spectacle sur le terrain

Et c'est la fierté du père et de toute la famille
Dans les yeux le même feu et quand il se bat dans la surface
Il met l'envie, la fantaisie, l'altruisme pour son équipe
Tout en se répétant en cherchant sa victoire

Il n'y a que toi, avec ce but devant
Et un tir à marquer qui attend pour te révéler si
Tous ces rêves pour lesquels tu cours
Tu les mérites vraiment ou ce ne sont que des illusions folles
Seulement toi et ce but plus loin
Sous les sifflets de tous quand ce tir ne rentre pas
Détails stupides
Si tu triches, ça se voit dans tes yeux
N'aie pas peur, tu cours, tu cours

Seulement toi sous les sifflets de tous si ce tir ne rentre pas
N'aie pas peur, tu cours

Tandis que du haut des gradins, pour les enfants et les ultras
Tu es quelqu'un qui aime tout ce qu'il fait, il n'a pas de problèmes
Que ça ne fatigue pas, tu sais que ce n'est pas le cas mais
Celui qui regarde ta vie de là-bas, qu'est-ce qu'il en sait

De celui qui ruine ce pour quoi tu vis
Attaquants souriants, faux et éteints transformés en gamins
Avec le compte en banque plein et un mariage sincère
Ou avec des femmes qu'ils n'ont jamais vraiment aimées

Voilà pourquoi s'arrêter là est trop facile maintenant
Et dire ça suffit te rend fragile tu sais
Maintenant que ce que tu as ne brille plus comme de l'or
Tu ne penses pas aux faux et aux femmes hypocrites, à l'intérieur tu n'es pas comme eux

Ce n'est pas l'argent qui te pousse, mais c'est l'envie
D'être un nom gravé au fer rouge dans l'histoire
Comme une lumière à suivre
Avec la même phrase en tête imprimée jusqu'à la fin

Il n'y a que toi, avec ce but devant
Et un tir à marquer qui attend pour te révéler si
Tous ces rêves pour lesquels tu cours
Tu les mérites vraiment ou ce ne sont que des illusions folles
Seulement toi et ce but plus loin
Sous les sifflets de tous quand ce tir ne rentre pas
Détails stupides
Si tu arrêtes, ça se voit dans tes yeux
N'aie pas peur, tu cours, tu cours

Seulement toi, seulement toi, sous les sifflets de tous si ce tir ne rentre pas
Détails stupides, si tu arrêtes, ça se voit dans tes yeux
N'aie pas peur, tu cours