Текст и перевод песни Gerardo Reyes - Mi Vejez

Mi Vejez

Ayer,
Me dijeron viejo,
Por un momento,
Me estremeci.
Después,
Me miré al espejo,
Y al fin noté,
Lo que envejeci.
No voy,
A sufrir por eso,
Yo estoy tranquilo,
Con esta edad.
Si voy,
A dejar el puerto,
Voy a marcharme,
Con dignidad.
Por que llorar,
Por que sufrir.
Al fin los seres,
Que tanto amamos,
Tarde o temprano,
Se van a ir.
Por que llorar,
Por que sufrir.
Si en cada arruga,
Y en cada cana,
Dejé un historia,
De mi vivir.
No importa lo que me digan,
Ni lo que te digan de mi edad,
Yo seguiré adelante mientras me sigas queriendo vida mía.
Me voy,
Con la cara al viento,
Jamás mis canas,
Ocultare.
En la,
Batalla del tiempo,
Con mucho orgullo,
Me las gané.
No debo,
Sentir vergüenza,
Por estos surcos,
Que hay en mi piel.
Son fruto de la experiencia,
De horas amargas,
Y horas de miel.
Por que llorar,
Por que sufrir.
Al fin y al cabo,
Si dejas huella,
Tu nombre nunca,
Se va a morir.
Por que llorar,
Por que sufrir.
Si al fin el fruto,
De mis entrañas,
Por otro tiempo,
Se queda aquí.

Ma Vieillesse

Hier,
On m'a appelé vieux,
Pour un instant,
J'ai été effrayé.
Puis,
Je me suis regardé dans le miroir,
Et j'ai enfin remarqué,
Combien j'ai vieilli.
Je ne vais pas,
Souffrir pour ça,
Je suis tranquille,
Avec cet âge.
Si je vais,
Quitter le port,
Je vais partir,
Avec dignité.
Pourquoi pleurer,
Pourquoi souffrir.
Finalement, les êtres,
Que nous aimons tant,
Tôt ou tard,
Vont s'en aller.
Pourquoi pleurer,
Pourquoi souffrir.
Si dans chaque ride,
Et dans chaque cheveux gris,
J'ai laissé une histoire,
De ma vie.
Peu importe ce qu'ils me disent,
Ni ce qu'ils te disent de mon âge,
Je continuerai d'avancer tant que tu continueras à m'aimer, ma vie.
Je m'en vais,
Le visage au vent,
Jamais mes cheveux gris,
Je ne les cacherai.
Dans la,
Bataille du temps,
Avec beaucoup de fierté,
Je les ai gagnées.
Je ne dois pas,
Avoir honte,
De ces sillons,
Qui sont sur ma peau.
Ils sont le fruit de l'expérience,
D'heures amères,
Et d'heures de miel.
Pourquoi pleurer,
Pourquoi souffrir.
Après tout,
Si tu laisses une trace,
Ton nom ne sera jamais,
Mort.
Pourquoi pleurer,
Pourquoi souffrir.
Si finalement le fruit,
De mes entrailles,
Pour un autre temps,
Reste ici.