Текст и перевод песни Gilbert Bécaud - Les Tantes Jeanne - Remasterisé En 2004

Les Tantes Jeanne - Remasterisé En 2004

Les madames qui venaient
Voir notre oncle après dîner,
On les appelait tante Jeanne.
Ce n'étaient jamais les mêmes,
Mais on les aimait quand même,
On aimait nos tantes Jeanne.
C'est tonton qui était content
Quand il enlevait leurs gants.
Il les appelait 'Chère Jeanne."
Oh, les jolies vacances
Quand une tante Jeanne venait.
Oui, les jolies vacances
Que notre tonton se payait.
Nous, quand on me demandait
Combien de tantes on avait,
On avait de tantes Jeanne,
On disait qu'on savait pas.
Quand on aime, on compte pas,
Compte pas ses tantes Jeanne.
Ce qui était important,
C'est que tonton soit content,
Soit content des tantes Jeanne.
Hé, les jolies vacances
Quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
Que notre tonton nous payait.
Nous, ça nous arrangeait bien,
On nous envoyait au cinéma.
En échange on promettait bien
De ne rien dire à grand-papa.
Quand on rentrait vers minuit,
On ne faisait pas de bruit,
Pas de bruit pour tante Jeanne.
Dire qu'on était trop petit
Pour en avoir une aussi
Une aussi de chère Jeanne.
Pour le petit déjeuner
Tonton était toujours gai,
Jorobobo et bobobori, chère Jeanne.
Ah, les jolies vacances
Quand une tante Jeanne venait.
Ah, les jolies vacances
Que notre tonton se payait.
Maintenant on a grandi,
Notre tonton a vieilli
Et vieilli Les tantes Jeanne.
Mais nous, quand on va le voir,
Comme il a plus de mémoire,
On réveille Les tantes Jeanne.
Alors il est tout content,
Il retrouve le bon temps,
Le bon temps des chères Jeanne.
Et puis, les jolies vacances
Des tantes Jeanne passaient,
Oui, les jolies vacances.
Viens tonton, on va t'embrasser.

Les Tantes Jeanne - Remastered In 2004

The ladies who would come
To see our uncle after dinner,
We called them Auntie Jeanne.
They were never the same,
But we loved them anyway,
We loved our Aunties Jeanne.
It was Uncle who was happy
When he would take off their gloves.
He would call them 'Dear Jeanne."
Oh, the lovely vacations
When an Auntie Jeanne would visit.
Yes, the lovely vacations
That our uncle would give himself.
When me they would ask
How many aunties we had,
We had of aunties Jeanne,
We would say we didn't know.
When you love, you don't count,
Don't count your Auntie Jeannes.
What was important
Is that Uncle be happy,
Be happy with Aunties Jeanne.
Hey, the lovely vacations
When an Auntie Jeanne would come.
Ah, the lovely vacations
That our uncle would give himself.
For us, it suited us well,
They would send us to the movies.
In exchange we promised well
To not say anything to Grandpa.
When we would come home around midnight,
We wouldn't make a sound,
No sound for Auntie Jeanne.
To say that we were too young
To have one too,
One too dear Jeanne.
For breakfast
Uncle was always so cheerful,
Doodle-doo and bobble-boo, dear Jeanne.
Ah, the lovely vacations
When an Auntie Jeanne would come.
Ah, the lovely vacations
That our uncle would give himself.
Now we have grown,
Our uncle has aged
And the Aunties Jeanne have aged too.
But we, when we see him,
Since he no longer remembers,
We awaken the Aunties Jeanne.
Then he is happy,
He finds the good old days,
The good old days of the dear Jeannes.
And then, the lovely vacations
The Aunties Jeanne shared
Yes, the lovely vacations.
Come here Uncle, let us kiss you.