Текст и перевод песни Ginie Line - Les Hommes en blanc

Les Hommes en blanc

Les Hommes En Blanc
Y'a des hommes en blanc autour de moi
Tous les jours déambulent et font les cent pas
Oh, je les entends parler tout bas...
Mais je te jure, faut croire tout se qu'ils disent sur moi
Je me fous bien de leurs colombes
Des morales et des lois
J'attends que le verdict tombe
Enroulée dans mes draps
Dis moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle...
Tout le monde fait comme si je n'était pas la
Qu'est-ce que ça peut bien faire que je parle aux miroirs?
Les dimanches se suivent et se ressemblent
On court après des cris et des portes qui tremblent
Ici rien n'est comme dans la vie
Les jardins sont rêves
Même les fleurs nous on appris
A ne pas les toucher
Dis moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle...
Je lis des lettres a haute voix
Que tu n'envoies jamais
J'ai écrit ton prénom mille fois
Sur les vitres embuées
Et que mon âme
Aille dans les flammes
Si je ne suis que démence
Sois dans mon coeur
Je n'ai pas peur
De payer mon innocence
Tous les étés sont meurtrier
Ils ont des parfums d'éthers
D'éternité, de jours fériés
Si tu entends mes prières...
Dis moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle...
Avant qu'ils me rendent folle...

Men in White

The Men in White
There are men in white around me
Walking up and down all day
Oh, I hear them whispering...
But I swear, you have to believe everything they say about me
I don't care about their prayers
Morals and laws
I wait for the verdict to fall
Curled up in my sheets
Just tell me when you're coming
In these straitjacket nights
To the men in white, tear me away
Before they drive me crazy...
Everyone is acting like I'm not here
What does it matter if I talk to the mirrors?
Sundays follow each other and look the same
We chase after screams and doors that shake
Here, nothing is like in real life
The gardens are dreams
Even the flowers we were taught
Not to touch
Just tell me when you're coming
In these straitjacket nights
To the men in white, tear me away
Before they drive me crazy...
I read letters out loud
That you never send
I've written your name a thousand times
On the misted-up windows
And may my soul
Go up in flames
If I am only madness
Be in my heart
I'm not afraid
To pay for my innocence
All summers are deadly
They have the scents of ether
Of eternity, of holidays
If you hear my prayers...
Just tell me when you're coming
In these straitjacket nights
To the men in white, tear me away
Before they drive me crazy...
Before they drive me crazy...