Текст и перевод песни Giuseppe Verdi, Rolando Villazon, Gianandrea Noseda & Orchestra del Teatro Regio di Torino - 8 Romanze per tenore e orchestra : In solitaria stanza

8 Romanze per tenore e orchestra : In solitaria stanza

In solitaria stanza

Jacopo Vittorelli

In solitaria stanza
Langue per doglia atroce;
Il labbro è senza voce,
Senza respiro il sen,

Come in deserta aiuola,
Che di rugiade è priva,
Sotto alla vampa estiva
Molle narcisso svien.

Io, dall'affanno oppresso,
Corro per vie rimote
E grido in suon che puote
Le rupi intenerir

Salvate, o Dei pietosi,
Quella beltà celeste;
Voi forse non sapreste
Un'altra Irene ordir

TRADUCCIÓ

Dans une pièce solitaire

Dans une pièce solitaire
Elle se languit dans une douleur atroce;
Les lèvres sans voix,
Le sein sans souffle.

Comme dans un massif désert,
Abandonné par la rosée,
Sous le feu de l'été
Un faible narcisse se fane.

Moi, oppressé par l'anxiété,
Je cours à travers des chemins éloignés,
Et je pousse des cris qui pourraient
Adoucir des rochers.

Sauvez, ô dieux pleins de pitié,
Cette beauté céleste;
Peut-être que vous ne saurez pas
Créer une autre Irène.

8 Romanze per tenore e orchestra : In solitaria stanza

Dans une pièce solitaire

Jacopo Vittorelli

Dans une pièce solitaire
Tu languis dans une douleur atroce;
Tes lèvres sont sans voix,
Ton sein sans souffle,

Comme dans un massif désert,
Abandonné par la rosée,
Sous le feu de l'été
Un faible narcisse se fane.

Moi, oppressé par l'anxiété,
Je cours à travers des chemins éloignés,
Et je pousse des cris qui pourraient
Adoucir des rochers.

Sauve, ô dieux pleins de pitié,
Cette beauté céleste;
Peut-être que vous ne saurez pas
Créer une autre Irène.

TRADUCCIÓ

Dans une pièce solitaire

Dans une pièce solitaire
Elle se languit dans une douleur atroce;
Les lèvres sans voix,
Le sein sans souffle.

Comme dans un massif désert,
Abandonné par la rosée,
Sous le feu de l'été
Un faible narcisse se fane.

Moi, oppressé par l'anxiété,
Je cours à travers des chemins éloignés,
Et je pousse des cris qui pourraient
Adoucir des rochers.

Sauvez, ô dieux pleins de pitié,
Cette beauté céleste;
Peut-être que vous ne saurez pas
Créer une autre Irène.