Текст и перевод песни Gray Fox - White Walls

White Walls

Clutching my hands real tight on this carving knife
Watching the cloth untwine, watching the clock rewind
Clutching my hands real tight on this carving knife
Your face contrasts nice

This room got me spinning and shifting up in its gravity
Still trying to figure out what is after me
Casually adding another one to my gallery
Just another casualty found inside a cavity
Losing energy, counting my calories
It ain't green so I'm chopping up my salary
'Til it's real thin and it gets a little powdery
Then you sniff it up, smelling real flowery
Damn, that stench is overpowering
Others in the room sipping on some alchemy
Some are out of view, sun setting out of tune
The rest are clawing at the walls for some boundaries
It sounds to me that we are bound to see the essence of these wretches in this foundry
(Can't escape it) Yeah, sickness and depravity
What a fucking tragedy

I've been losing my sense of unity
These hands are just not what they used to be
These colors are not here usually
These voices will tell you what to do with me
And if you listen real close then they'll visit you most
Everything looks the same when the night falls
You're nothing but a spec on these white walls

Pacing like a pendulum, swaying through the delirium with eggshells scattered on frosted
Linoleum
Wake up to tangled lights due to a deficit of sodium
This coffee is blacker than petroleum
But you gotta get that fix so they can fill those scripts so they can bill that pimp who really runs this shit
That can make you slip so you can come back quick where they'll tuck you in and do it over again
(It's nonstop)
'Cause in the deep end you depend (No breathing)
They got body bags you can sleep in or get fucked in, whatever the assumption
As long as you function it really ain't nothing
So tell 'em what your poison is - they'll give you something even more poisonous
(Choke on it) She said I really don't belong here
(Fuck you, bitch) I told her that she was too boisterous

I've been losing my sense of unity
These hands are just not what they used to be
These colors are not here usually
These voices will tell you what to do with me
And if you listen real close then they'll visit you most
Everything looks the same when the night falls
You're nothing but a stain, nothing but a wreck
You're nothing but a spec on these white walls

I've been losing sleep, I've been losing me in the process, strutting with a slow step
Whole breath stuck inside a grotesque protest - shaken, exposed and then undressed
Just to realize that there's something left of the man that used to love with his whole chest
And I'm holding onto hope yet - I hope you don't forget me

(Somebody let me out)

I've been losing my sense of unity
These hands are just not what they used to be
These colors are not here usually
These voices will tell you what to do with me
And if you listen real close then they'll visit you most
Everything looks the same when the night falls
You're nothing but a spec on these white walls
I've been losing sleep, I've been losing me
Everything looks the same on these white walls
You're nothing but a spec when the night falls

Murs Blancs

J'agrippe fermement ce couteau à découper
Je regarde le tissu se dérouler, je regarde l'horloge revenir en arrière
J'agrippe fermement ce couteau à découper
Ton visage contraste bien

Cette pièce me fait tourner et défier sa gravité
J'essaie toujours de comprendre ce qui me poursuit
J'ajoute nonchalamment une autre œuvre à ma galerie
Juste une autre victime retrouvée dans une cavité
Je perds de l'énergie, je compte mes calories
Ce n'est pas assez vert alors je découpe mon salaire
Jusqu'à ce qu'il soit très fin et légèrement poudreux
Puis tu le snifes, ça sent bon les fleurs
Putain, cette odeur est entêtante
D'autres dans la pièce sirotent une potion d'alchimie
Certains sont hors de vue, le soleil se couche faux
Les autres cherchent désespérément des limites sur ces murs
Il me semble que nous sommes destinés à voir l'essence de ces misérables dans cette fonderie
(Impossible d'y échapper) Ouais, la maladie et la dépravation
Quelle putain de tragédie

Je perds le sens de l'unité
Ces mains ne sont plus ce qu'elles étaient
Ces couleurs ne sont pas là d'habitude
Ces voix te diront quoi faire de moi
Et si tu écoutes attentivement, elles te rendront souvent visite
Tout se ressemble quand la nuit tombe
Tu n'es rien qu'une tache sur ces murs blancs

Je fais les cent pas comme un pendule, oscillant à travers le délire avec des coquilles d'œufs éparpillées sur le linoléum givré
Linoléum
Je me réveille avec des lumières enchevêtrées à cause d'un manque de sodium
Ce café est plus noir que le pétrole
Mais il faut que tu aies ta dose pour qu'ils puissent remplir ces ordonnances, pour qu'ils puissent facturer ce proxénète qui dirige vraiment ce bordel
Qui peut te faire déraper pour que tu reviennes vite et qu'ils te remettent dedans pour tout recommencer
(C'est sans fin)
Parce qu'au fond du trou, tu dépends (Pas de répit)
Ils ont des sacs mortuaires dans lesquels tu peux dormir ou te faire baiser, peu importe l'hypothèse
Tant que tu fonctionnes, ce n'est vraiment rien
Alors dis-leur quel est ton poison - ils te donneront quelque chose d'encore plus toxique
(Étouffe-toi avec) Elle a dit que je n'avais rien à faire ici
(Va te faire foutre, salope) Je lui ai dit qu'elle était trop bruyante

Je perds le sens de l'unité
Ces mains ne sont plus ce qu'elles étaient
Ces couleurs ne sont pas là d'habitude
Ces voix te diront quoi faire de moi
Et si tu écoutes attentivement, elles te rendront souvent visite
Tout se ressemble quand la nuit tombe
Tu n'es rien qu'une tache, rien qu'une épave
Tu n'es rien qu'une tache sur ces murs blancs

Je perds le sommeil, je me perds dans le processus, je marche à pas lents
Le souffle coupé dans une protestation grotesque - secoué, exposé puis déshabillé
Juste pour réaliser qu'il reste quelque chose de l'homme qui aimait de tout son cœur
Et je m'accroche encore à l'espoir - j'espère que tu ne m'oublieras pas

(Que quelqu'un me laisse sortir)

Je perds le sens de l'unité
Ces mains ne sont plus ce qu'elles étaient
Ces couleurs ne sont pas là d'habitude
Ces voix te diront quoi faire de moi
Et si tu écoutes attentivement, elles te rendront souvent visite
Tout se ressemble quand la nuit tombe
Tu n'es rien qu'une tache sur ces murs blancs
Je perds le sommeil, je me perds
Tout se ressemble sur ces murs blancs
Tu n'es rien qu'une tache quand la nuit tombe