Текст и перевод песни Graya - La rue c'est pas un jeu - Extrait de la compilation Bendo

La rue c'est pas un jeu - Extrait de la compilation Bendo

Je sens qu'ils veulent ma peau, me tirer dans le dos, dans la rue j'me suis fais des envieux.
Quand je penses à mes roh qui sont partit trop tôt, j'me dis que la rue ce n'est pas un jeu.
Je sens qu'ils veulent ma peau, me tirer dans le dos, dans la rue j'me suis fais des envieux.
Quand je penses à mes roh qui sont partit trop tôt, j'me dis que la rue ce n'est pas un jeu.
Ce matin j'me suis réveillé du mauvais pieds, avec l'intention de tout niquer.
J'ai du talent mais ils veulent pas miser, j'vois des salopes raper s'inventer, une vie, de voyous mais ils l'ont pas.
Ils te parlent de prisons mais n'y sont pas.
Quand tu les vois dans les clips c'est du cinéma.
Nous on fais dans le réel comme Zamba.
Ma plume a changé mon cœur ne doutes pas.
Je reconnais les vrais des faux alors me suce pas.
Si j'te fais jamais la bise c'est qu'je t'aime pas.
Tu mérites une balle dans la tête pas une hagra.
Dans la musique ouai j'me suis fais des ennemis.
Préparez-vous a tous j'vais faire l'effet d'un tsunami.
J'ai pas attendu qu'il m'endorme pour voir qui me la mise.
Pour oublier tout mes soucis j'me démonte a la thise.
C'est un cauchemar hier c'était mon frère aujourd'hui c'est un batard.
Sur l'autoroute à 220 j'ai mis les pleins phares.
J'men bas les couilles d'eux et depuis tit-pe.
J'ai rêvé de niquer le game et le mettre hors-jeu.
Fais comme tu sens.
Mon ami fais comme tu sens.
Oublie la vite.
Ou tu vas finir en sang.
Fais comme tu sens.
Mon ami fais comme tu sens.
Oublie la vite.
Ou tu vas finir en sang.
Je sens qu'ils veulent ma peau, me tirer dans le dos, dans la rue j'me suis fais des envieux.
Quand je penses à mes roh qui sont partit trop tôt, j'me dis que la rue ce n'est pas un jeu.
Je sens qu'ils veulent ma peau, me tirer dans le dos, dans la rue j'me suis fais des envieux.
Quand je penses à mes roh qui sont partit trop tôt, j'me dis que la rue ce n'est pas un jeu.

Streets Ain't No Game - Excerpt from the Bendo compilation

I sense they desire my end, to ambush me, on the streets I've aroused envy.
When I dwell on my homies who departed prematurely, I tell myself the streets are no game.
I sense they desire my end, to ambush me, on the streets I've aroused envy.
When I dwell on my homies who departed prematurely, I tell myself the streets are no game.
This morning I woke up on the wrong side of the bed, with the intent to raze all.
I possess talent but they refuse to invest, I observe these women rapping, fabricating stories of the hood, but they've never lived it.
They speak of prison but have never experienced it.
When you see them in videos, it's all a charade.
We keep it real, like Zamba.
My penmanship has awakened my heart, have no doubts.
I discern the genuine from the fake, so don't flatter me.
If I don't greet you with a kiss, it's because I have no fondness for you.
You deserve a bullet in the head, not a kiss.
In the music industry, I've indeed made adversaries.
Brace yourselves, ladies, for I'm about to make waves like a tsunami.
I didn't wait to fall asleep to discover who's been betraying me.
To alleviate my troubles, I indulge in the potent herb.
It's a nightmare. Yesterday, he was my brother; today, he's a bastard.
On the highway at 137 mph, I hit the high beams.
I've always disregarded them, and from day one.
I yearned to dominate the game and sideline it.
Do as you feel.
My love, do as you feel.
Forget about the fuss.
Or you'll end up bloody.
Do as you feel.
My love, do as you feel.
Forget about the fuss.
Or you'll end up bloody.
I sense they desire my end, to ambush me, on the streets I've aroused envy.
When I dwell on my homies who departed prematurely, I tell myself the streets are no game.
I sense they desire my end, to ambush me, on the streets I've aroused envy.
When I dwell on my homies who departed prematurely, I tell myself the streets are no game.