Текст и перевод песни Gökçe Kırgız - Köz

Köz

Belki bi' günün akşamında
Bi' kahvenin yakıcı yudumunda
Bir yüz belirir sarı sıcak
Durur, bakar dumanlı karşımda

"Biri vardı" dersin, "Bu bakış onundu"
Farklıydı huzuru, tuhaftı, mahcuptu
Yanmaya meyilliydi
O biri var ya, cayır cayır hâlâ
Yanıyor, haberin yok

Ben bilmezdim böyle bu kadar olacağımı
Bir alevle gönüllü yanacağımı
Hayranım ateşine, köze dönesim yok
Öyle bir yandım ki hiç sönesim yok

Hayranım ateşine, köze dönesim yok
Öyle bir yandım ki hiç sönesim yok

"Biri vardı" dersin, "Bu bakış onundu"
Farklıydı huzuru, tuhaftı, mahcuptu
Yanmaya meyilliydi
O biri var ya, cayır cayır hâlâ
Yanıyor, haberin yok

Ben bilmezdim böyle bu kadar olacağımı
Bir alevle gönüllü yanacağımı
Hayranım ateşine, köze dönesim yok
Öyle bir yandım ki hiç sönesim yok

Hayranım ateşine, köze dönesim yok
Öyle bir yandım ki hiç sönesim yok

Cendres

Peut-être un soir, un jour
Dans une gorgée brûlante de café
Un visage apparaît, jaune et chaud
S'arrête, regarde, enfumé en face de moi

Tu diras : "Il y avait quelqu'un, ce regard était le sien"
Son calme était différent, étrange, timide
Il était enclin à brûler
Cet autre, il brûle toujours, avec force
Il brûle, tu n'en sais rien

Je ne savais pas que j'allais être autant
Que je brûlerais volontairement avec une flamme
Je suis admirative de son feu, je ne veux pas devenir des cendres
J'ai tellement brûlé que je ne veux plus jamais m'éteindre

Je suis admirative de son feu, je ne veux pas devenir des cendres
J'ai tellement brûlé que je ne veux plus jamais m'éteindre

Tu diras : "Il y avait quelqu'un, ce regard était le sien"
Son calme était différent, étrange, timide
Il était enclin à brûler
Cet autre, il brûle toujours, avec force
Il brûle, tu n'en sais rien

Je ne savais pas que j'allais être autant
Que je brûlerais volontairement avec une flamme
Je suis admirative de son feu, je ne veux pas devenir des cendres
J'ai tellement brûlé que je ne veux plus jamais m'éteindre

Je suis admirative de son feu, je ne veux pas devenir des cendres
J'ai tellement brûlé que je ne veux plus jamais m'éteindre