Текст и перевод песни Hakan Altun - Kabul Et

Kabul Et

Mutlu muyum sanıyorsun?
En az senin kadar sancılarım
Gülüyorum sanıyorsan inan ki çok aldanırsın
Mecburdum gitmeye, dönüş yok geriye
Farzet bir rüyaydı, yalan oldu bu hikâye

Kabul et sonu yoktu bir gün ayrılacaktık
Kaderin kucağında belki bir oyuncaktık
Kabul et suçunu senin de var hataların
Çalmıştı kapıyı o hain, zalim ayrılık

Kabul et sonu yoktu bir gün ayrılacaktık
Kaderin kucağında belki bir oyuncaktık
Kabul et suçunu senin de var hataların
Çalmıştı kapıyı o hain, zalim ayrılık

Mutlu muyum sanıyorsun?
En az senin kadar sancılarım
Gülüyorum sanıyorsan inan ki çok aldanırsın
Mecburdum gitmeye, dönüş yok geriye
Farzet bir rüyaydı, yalan oldu bu hikâye

Kabul et sonu yoktu bir gün ayrılacaktık
Kaderin kucağında belki bir oyuncaktık
Kabul et suçunu senin de var hataların
Çalmıştı kapıyı o hain, zalim ayrılık

Kabul et sonu yoktu bir gün ayrılacaktık
Kaderin kucağında belki bir oyuncaktık
Kabul et suçunu senin de var hataların
Çalmıştı kapıyı o hain, zalim ayrılık

Accepte

Penses-tu que je sois heureux ?
J'ai autant de douleurs que toi, au moins.
Si tu penses que je souris, sache que tu te trompes beaucoup.
J'étais obligé de partir, il n'y a pas de retour en arrière.
Imagine que c'était un rêve, que cette histoire était un mensonge.

Accepte que cela n'avait pas de fin, un jour nous nous séparerions.
Peut-être que nous étions juste des jouets dans les bras du destin.
Accepte que tu as aussi ta part de culpabilité, tes erreurs.
Cette trahison cruelle, cette séparation impitoyable, avait frappé à la porte.

Accepte que cela n'avait pas de fin, un jour nous nous séparerions.
Peut-être que nous étions juste des jouets dans les bras du destin.
Accepte que tu as aussi ta part de culpabilité, tes erreurs.
Cette trahison cruelle, cette séparation impitoyable, avait frappé à la porte.

Penses-tu que je sois heureux ?
J'ai autant de douleurs que toi, au moins.
Si tu penses que je souris, sache que tu te trompes beaucoup.
J'étais obligé de partir, il n'y a pas de retour en arrière.
Imagine que c'était un rêve, que cette histoire était un mensonge.

Accepte que cela n'avait pas de fin, un jour nous nous séparerions.
Peut-être que nous étions juste des jouets dans les bras du destin.
Accepte que tu as aussi ta part de culpabilité, tes erreurs.
Cette trahison cruelle, cette séparation impitoyable, avait frappé à la porte.

Accepte que cela n'avait pas de fin, un jour nous nous séparerions.
Peut-être que nous étions juste des jouets dans les bras du destin.
Accepte que tu as aussi ta part de culpabilité, tes erreurs.
Cette trahison cruelle, cette séparation impitoyable, avait frappé à la porte.