Текст и перевод песни Hater feat. Mattia Sogari - Bleakness

Bleakness

Love is a fucking disease,
a perfect lie to justify the human breeding.
There is no romance and there is no magic.
Just an infection spreading since the beginning of life.
Behind the sweetest words we hide our bitter side.
Unaware to be dead inside but fulfilling our ego
Still we are, unable to see the voidness of life.
Love, disruptional affection, worthless people making human hives,
with such blindness in their eyes
as the poison ends they became aware of the disaster they made
a newborn in this pain
They think life is a gift,
so they rejoice the birth of their sons.
well, I only hear the infant's screams.
Watch their tears and feel their pain.
The cold air on their soft skins
the first breath of death
The survival instinct that keeps me alive
It drives us insane, still I fear to die
the needle to feel someone around, intimate, inside
someone you could always trust in till death
Twisting the bodies till the climax of bleakness.
INFECT!
Following deceiving pleasures.
INFECT!
Slaves to the laws of nature,
unable to see the void of life.
I regret to be alive, the day I was born, that should be a lie
I recap the days I felt happy with someone
I can't remember, watching your hives i wanna die.
(MATTIA SOGARI)
Damned, as we feel our first emotion of attraction
Since the first love's kiss our minds are slowly drilled
Such unbearable feeling of bleakness inside
that can't be all washed away, a curse that only remains.
that only remains.
I regret to be alive, the day I was born that should be a lie
I recap the days I felt happy with someone
I can't remember, watching your hives i wanna die.
I regret to be alive, I got restraint in the chains of this sadistic seek
I recap the days I felt happy with someone
I can't remember

Sombre

L'amour est une putain de maladie,
un mensonge parfait pour justifier la reproduction humaine.
Il n'y a pas de romance et il n'y a pas de magie.
Juste une infection qui se propage depuis le début de la vie.
Derrière les mots les plus doux, nous cachons notre côté amer.
Inconscients d'être morts à l'intérieur, mais nous comblons notre ego.
Nous sommes encore là, incapables de voir le néant de la vie.
L'amour, l'affection perturbatrice, des gens sans valeur qui créent des ruches humaines,
avec une telle cécité dans leurs yeux.
Au moment où le poison se termine, ils deviennent conscients du désastre qu'ils ont créé.
Un nouveau-né dans cette douleur.
Ils pensent que la vie est un cadeau,
alors ils se réjouissent de la naissance de leurs fils.
Eh bien, je n'entends que les cris du nourrisson.
Je regarde leurs larmes et je ressens leur douleur.
L'air froid sur leurs peaux douces.
Le premier souffle de la mort.
L'instinct de survie qui me maintient en vie.
Il nous rend fous, mais j'ai quand même peur de mourir.
L'aiguille pour sentir quelqu'un autour, intime, à l'intérieur.
Quelqu'un en qui tu pourrais toujours avoir confiance jusqu'à la mort.
Tordre les corps jusqu'à l'apogée de la tristesse.
INFECTE !
Suivant des plaisirs trompeurs.
INFECTE !
Esclaves des lois de la nature,
incapables de voir le vide de la vie.
Je regrette d'être en vie, le jour où je suis né, ça devrait être un mensonge.
Je revois les jours où j'étais heureux avec quelqu'un.
Je ne me souviens pas, en regardant tes ruches, j'ai envie de mourir.
(MATTIA SOGARI)
Condamnés, alors que nous ressentons notre première émotion d'attirance.
Depuis le premier baiser amoureux, nos esprits sont lentement forés.
Un sentiment de tristesse insoutenable à l'intérieur.
Qui ne peut pas être entièrement effacé, une malédiction qui ne fait que persister.
Qui ne fait que persister.
Je regrette d'être en vie, le jour où je suis né, ça devrait être un mensonge.
Je revois les jours où j'étais heureux avec quelqu'un.
Je ne me souviens pas, en regardant tes ruches, j'ai envie de mourir.
Je regrette d'être en vie, j'ai des contraintes dans les chaînes de cette recherche sadique.
Je revois les jours où j'étais heureux avec quelqu'un.
Je ne me souviens pas.