Текст и перевод песни Highwaymen feat. Willie Nelson, Johnny Cash, Waylon Jennings & Kris Kristofferson - City of New Orleans (Live at Nassau Coliseum, Uniondale, NY - March 1990)

City of New Orleans (Live at Nassau Coliseum, Uniondale, NY - March 1990)

Ridin' on the City of New Orleans
Illinois Central, Monday mornin' rail
15 cars and 15 restless riders
Three conductors, 25 sacks of mail

All along the southbound odyssey the train pulls out of Kankakee
Rolls along past houses, farms & fields
Passin' graves that have no name, freight yards full of old black men
And the graveyards of rusted automobiles

Good mornin' America, how are you?
Don't you know me? I'm your native son!
I'm the train they call the City of New Orleans
I'll be gone 500 miles when the day is done

Dealin' cards with the old men in the club car
Penny a point, ain't no one keepin' score
Pass the paper bag that holds the bottle
And feel the wheels grumblin' neath the floor

And the sons of Pullman porters & the sons of engineers
Ride their fathers' magic carpet made of steel
Mothers with their babes asleep, rockin' to the gentle beat
And the rhythm of the rails is all they feel

Good mornin' America, how are you?
Don't you know me? I'm your native son!
I'm the train they call the City of New Orleans
I'll be gone 500 miles when the day is done

Night time on the City of New Orleans
Changin' cars in Memphis, Tennessee
Halfway home, we'll be there by mornin'
Through the Mississippi darkness rollin' down to the sea

But all the towns & people seem to fade into a bad dream
And the steel rail still ain't heard the news
The conductor sings his song again
"The passengers will please refrain,
This train has got the disappearin' railroad blues

Good mornin' America, how are you?
Don't you know me? I'm your native son!
I'm the train they call the City of New Orleans
I'll be gone 500 miles when the day is done

La Ville de la Nouvelle-Orléans (En direct du Nassau Coliseum, Uniondale, NY - mars 1990)

Je voyage sur la Ville de la Nouvelle-Orléans
L'Illinois Central, lundi matin, train
15 voitures et 15 passagers inquiets
Trois conducteurs, 25 sacs de courrier

Tout au long de l'odyssée vers le sud, le train quitte Kankakee
Roule le long des maisons, des fermes et des champs
Passe des tombes sans nom, des gares de marchandises pleines de vieux noirs
Et les cimetières de voitures rouillées

Bonjour Amérique, comment vas-tu ?
Tu ne me connais pas ? Je suis ton fils indigène !
Je suis le train qu'ils appellent la Ville de la Nouvelle-Orléans
Je serai parti à 500 miles quand la journée sera finie

Je fais des cartes avec les vieux dans le wagon-club
Un sou le point, personne ne garde le score
Passe le sac en papier qui contient la bouteille
Et sens les roues gronder sous le sol

Et les fils des porteurs Pullman et les fils des ingénieurs
Chevauche le tapis magique de leurs pères fait d'acier
Les mères avec leurs bébés endormis, berçant au rythme doux
Et le rythme des rails est tout ce qu'elles ressentent

Bonjour Amérique, comment vas-tu ?
Tu ne me connais pas ? Je suis ton fils indigène !
Je suis le train qu'ils appellent la Ville de la Nouvelle-Orléans
Je serai parti à 500 miles quand la journée sera finie

Nuit sur la Ville de la Nouvelle-Orléans
Changement de voitures à Memphis, Tennessee
À mi-chemin, nous serons là demain matin
À travers l'obscurité du Mississippi, descendant vers la mer

Mais toutes les villes et les gens semblent s'estomper dans un mauvais rêve
Et le rail en acier n'a toujours pas entendu la nouvelle
Le chef de train chante à nouveau sa chanson
"Les passagers voudront bien s'abstenir,
Ce train a le blues du chemin de fer qui disparaît

Bonjour Amérique, comment vas-tu ?
Tu ne me connais pas ? Je suis ton fils indigène !
Je suis le train qu'ils appellent la Ville de la Nouvelle-Orléans
Je serai parti à 500 miles quand la journée sera finie