Текст песни и перевод на француский Immolation - Of Martyrs and Men

Of Martyrs and Men

Burdened by the world, too weak to deal with life
Bow to show your love, bow to show devotion
Drowning in the sickness that vomits forth deceit
Fear not what is said, but fear what you believe
Ravaged by their words and into their open arms
Like thieves they′ll steal your mind and use it to control
An endless sea of faces, an endless sea of loss
Take your place in line and serve them until the end
Do you think you follow greatness
Do you think you follow the divine
Do you think you are the chose
Do you think you are the few
A genocide of faith
The faithful wait their turn
Just like slaves... hand in hand
Just like ghosts... souls in hand
You take their lives
You take our hearts
You have no shame
You shake the world
Dramatic stage
For your own gain
You say you're men
We know you′re cowards
You pitiful fools
The true strong remain
Just like slaves... hand in hand
Just like ghosts... now you're damned

Des martyrs et des hommes

Accablé par le monde, trop faible pour faire face à la vie
Incline-toi pour montrer ton amour, incline-toi pour montrer ta dévotion
Noyant dans la maladie qui vomit la tromperie
Ne crains pas ce qui est dit, mais crains ce que tu crois
Ravagé par leurs paroles et dans leurs bras ouverts
Comme des voleurs, ils voleront ton esprit et l'utiliseront pour contrôler
Une mer sans fin de visages, une mer sans fin de pertes
Prends ta place dans la file et sers-les jusqu'à la fin
Penses-tu que tu suis la grandeur
Penses-tu que tu suis le divin
Penses-tu que tu es l'élu
Penses-tu que tu es l'un des rares
Un génocide de la foi
Les fidèles attendent leur tour
Comme des esclaves... main dans la main
Comme des fantômes... âmes en main
Tu prends leurs vies
Tu prends nos cœurs
Tu n'as aucune honte
Tu secoues le monde
Scène dramatique
Pour ton propre gain
Tu dis que tu es un homme
Nous savons que tu es un lâche
Tes pitoyables fous
Les vrais forts restent
Comme des esclaves... main dans la main
Comme des fantômes... maintenant vous êtes damnés