Текст и перевод песни Iván Ferreiro - Chainatown

Chainatown

Sin usted, por aquí, jamás sabremos la verdad
Que fue no volverla a ver
La vida en un cajón de piel
Con tentáculos, torturas y placer un mes
Y otro mes después,
Un hueco en mi colchón...
Y a tientas, va, se acerca y me cuenta sus tormentas
Desperté abrazado a ti
Enrendándome, zambulliéndonos
Te encontré entre la multitud,
Te agarraste a mi, yo no me solté
Y a partir de aquí con los mágico,
Lo astronómico, seguirás en mi
Hoy, haré la canción, que sé que quieres para ti
Tendrá lo mejor de mi
Y un toque de color y así, se hundirá por ti
Dirá que nuestro amor brilló
Más que el propio sol
Ardiendo hasta el final
Y a tientas, voy, la niebla, sí, me lleva sus tormentas
La verdad, ya no dolerá
Estuviste aquí no me lo inventé
Siempre quedará Chainatown, Madrid
Con no dormirán las puestas de sol
Y en esta canción, bien pueden caber
Los abrazos que me diste una vez
Voy, a tientas, voy, la niebla, sí, me llevan mis tormentas.

Chainatown

Sans toi, par ici, nous ne saurons jamais la vérité
Que c'était de ne plus la revoir
La vie dans un tiroir de peau
Avec des tentacules, des tortures et du plaisir un mois
Et un mois plus tard,
Un trou dans mon matelas...
Et à tâtons, elle vient, s'approche et me raconte ses tempêtes
Je me suis réveillé en t'embrassant
En nous enlaçant, en plongeant
Je t'ai trouvé dans la foule,
Tu t'es accroché à moi, je ne me suis pas détaché
Et à partir de là, avec le magique,
L'astronomique, tu resteras en moi
Aujourd'hui, je ferai la chanson que je sais que tu veux pour toi
Elle aura le meilleur de moi
Et une touche de couleur et ainsi, elle coulera pour toi
Elle dira que notre amour a brillé
Plus que le soleil lui-même
Brûlant jusqu'à la fin
Et à tâtons, j'y vais, le brouillard, oui, il m'emmène ses tempêtes
La vérité ne fera plus mal
Tu étais ici, je ne l'ai pas inventé
Il restera toujours Chainatown, Madrid
Avec les couchers de soleil qui ne dormiront pas
Et dans cette chanson, les
Les embrassades que tu m'as données une fois peuvent tenir
J'y vais, à tâtons, j'y vais, le brouillard, oui, il m'emmène mes tempêtes.