Текст и перевод песни Iván Ferreiro - Dies Irae

Dies Irae

Soy la tormenta de arena
Soy la rubia y la morena
La que te deja tirado,
La que te tiñe las venas

La buena muerte, el gusano verde,
El amuleto de tu mala suerte
El látigo de seda, el palo en la rueda,
La soga que te oprime donde tú quieras.

Si superas este invierno, si te quedas junto a mí,
Entre el cielo y el infierno, ya no podrás distinguir.
Si las noches son tan largas y no quieres despertar...
Uhhh da igual...

Riega tu huerto con polvo de aspirina
El fondo del túnel es solo tu ira
No te disculpes, fuego sin nombre
No te enamores, litio de azufre.

Rubrica con tu sangre el tiempo que te queda,
Los miedos, la vergüenza, y la pena
Dame todo eso que tenías para mí.
Puede que pueda ¡pasa la prueba!

Si supieras lo que siento, ya no querrías venir,
Yo te ofrezco lo que tengo y es muy fácil elegir.
Si los días son tan cortos y no quieres descansar
Da igual...

Y en esta cama de hotel, mirando pasar,
Las luces que bañan todo esta ciudad.
Voy a empezar a llorar, dejarme llevar,
Esta situación tan química.

Horas, minutos, segundos
Me hago un cigarro
Horas, minutos, segundos
Me hago un cigarro

Voy a empezar a contar, o voy a llorar,
Me voy a correr, ¡da igual!
Voy a empezar a contar, o voy a llorar,
Me voy a correr, ¡da igual!
Voy a empezar a correr, no voy a llorar
Voy a cantar ¡da igual!

Entré el cielo y el infierno, si prestarás Atención.

Dies Irae

Je suis la tempête de sable
Je suis la blonde et la brune
Celle qui te laisse tomber,
Celle qui te teinte les veines

La bonne mort, le ver vert,
L'amulette de ta mauvaise fortune
Le fouet de soie, le bâton dans la roue,
La corde qui t'opprime où tu veux.

Si tu survis à cet hiver, si tu restes près de moi,
Entre le ciel et l'enfer, tu ne pourras plus distinguer.
Si les nuits sont si longues et que tu ne veux pas te réveiller...
Uhhh peu importe...

Arrose ton jardin avec de la poussière d'aspirine
Le fond du tunnel n'est que ta colère
Ne t'excuse pas, feu sans nom
Ne t'amourache pas, lithium de soufre.

Authentifie avec ton sang le temps qui te reste,
Les peurs, la honte et la peine
Donne-moi tout ce que tu avais pour moi.
Peut-être que tu peux passer l'épreuve !

Si tu savais ce que je ressens, tu ne voudrais plus venir,
Je t'offre ce que j'ai et c'est très facile de choisir.
Si les journées sont si courtes et que tu ne veux pas te reposer
Peu importe...

Et dans ce lit d'hôtel, en regardant passer,
Les lumières qui baignent toute cette ville.
Je vais commencer à pleurer, me laisser emporter,
Cette situation si chimique.

Heures, minutes, secondes
Je me fais une cigarette
Heures, minutes, secondes
Je me fais une cigarette

Je vais commencer à compter, ou je vais pleurer,
Je vais me précipiter, peu importe !
Je vais commencer à compter, ou je vais pleurer,
Je vais me précipiter, peu importe !
Je vais commencer à courir, je ne vais pas pleurer
Je vais chanter peu importe !

Entre le ciel et l'enfer, si tu fais attention.