Текст и перевод песни Iván Noble - Lágrimas de Cabernet

Lágrimas de Cabernet

Corazón, no me des más consejos que los que te pido
Yo, mal que mal, acá estoy:
Con las suelas cerca del piso
Vos sabés... es difícil cuando llueve sólo en tu ventana
Y la melancolía, desgraciada,
Nos envuelve en su abrigo de escarcha
Son estos días sin vos trompadas al amanecer
Malos poemas, presentimientos
Y lágrimas de cabernet
Son estos días sin vos cuchillos en la oscuridad
Discos rayados de Sinatra, certezas que no saben más
Corazón, ¿y ahora qué?
Un perfume de besos antiguos me sale a buscar
¿Cómo vuelvo del país de los sueños cansados?
Ya no sé más qué hacer,
Esta casa quedó tan vacía que da escalofríos caminarla
Y no nos queda vino ni esperanzas...
Son estos días sin vos una patada muy cruel
Tibios recuerdos, seis Jack Daniels
Y adioses que pierden el tren
Son estos días sin vos trompadas al amanecer
Canciones rotas, remordimientos
Y lágrimas de cabernet
Adioses que pierden el tren
Y lágrimas de cabernet.

Larmes de Cabernet

Mon cœur, ne me donne plus de conseils que ceux que je te demande.
Moi, je suis ici, tant bien que mal:
Avec les semelles près du sol
Tu sais... c'est difficile quand il pleut seulement à ta fenêtre
Et la mélancolie, malheureuse,
Nous enveloppe dans son manteau de givre
Ce sont ces jours sans toi, des coups de poing à l'aube
De mauvais poèmes, des pressentiments
Et des larmes de cabernet
Ce sont ces jours sans toi, des couteaux dans l'obscurité
Des disques rayés de Sinatra, des certitudes qui ne savent plus
Mon cœur, et maintenant quoi?
Un parfum de baisers anciens vient me chercher
Comment revenir du pays des rêves fatigués?
Je ne sais plus quoi faire,
Cette maison est devenue si vide que ça donne des frissons de la parcourir
Et il ne nous reste ni vin ni espoir...
Ce sont ces jours sans toi, un coup de pied très cruel
Des souvenirs tièdes, six Jack Daniels
Et des adieux qui ratent le train
Ce sont ces jours sans toi, des coups de poing à l'aube
Des chansons brisées, des remords
Et des larmes de cabernet
Des adieux qui ratent le train
Et des larmes de cabernet.