Текст и перевод песни IZAL - El Pozo

El Pozo

He despertado
En el fondo de este pozo
Sin saber quién soy
¿Cómo he llegado?
Lleno de barro
Con algunos huesos rotos
Y la piel, color papel quemado
Me levanto y clavo
Uñas y dientes contra la pared
El calor derrite mis manos
Respiro y ardo
Hogueras en mi Torre de Babel
El dolor ya no duele tanto
Y ahí afuera buscaremos al malo
Y los buenos nos tendrán que creer
Salga despacio con los brazos en alto
Ponga las manos donde yo las pueda ver
Y ahí afuera buscaremos al malo
Y los buenos nos tendrán que creer
Salga despacio con los brazos en alto
Ponga las manos donde yo las pueda ver
He ido quitando
Millones de alfileres de mis pies
Veloz, sigo trepando
Si me resbalo
No dudes que lo intentaré otra vez
Tendré mucho más cuidado
Tomo impulso y salto
Te va a faltar ciudad para correr
Escóndete, ya estoy llegando
He recordado
Al ver tu cara por última vez
Fuiste tú ya te he encontrado
Ya tiran fuerte mis voluntades
Mis ganas de llamar
A voz en gritos tus malditas atenciones
Sube la fiebre de este pobre músculo impaciente
Ya me separo del envoltorio
De la inutilidad
Del peso muerto de este cuerpo descarnado
Ojos cerrados, boca abierta, cuento tres y salgo
(Un, dos, tres...)
Y ahí afuera buscaremos al malo
Y los buenos nos tendrán que creer
Salga despacio con los brazos en alto
Ponga las manos donde yo las pueda ver
Y ahí afuera buscaremos al malo
Y los buenos nos tendrán que creer
Salga despacio con los brazos en alto
Ponga las manos donde yo las pueda ver
Y ahí afuera buscaremos al malo
Y los buenos nos tendrán que creer
Salga despacio con los brazos en alto
Ponga las manos donde yo las pueda ver

Le Puits

Je me suis réveillé
Au fond de ce puits
Sans savoir qui je suis
Comment suis-je arrivé ici ?
Couvert de boue
Avec quelques os cassés
Et la peau, comme du papier brûlé
Je me lève et j'enfonce
Mes ongles et mes dents dans le mur
La chaleur me brûle les mains
Je respire et je brûle
Des feux de joie dans ma tour de Babel
La douleur ne me fait plus autant souffrir
Et là-bas, nous chercherons le méchant
Et les gentils devront nous croire
Sors lentement, les bras levés
Mets tes mains là où je peux les voir
Et là-bas, nous chercherons le méchant
Et les gentils devront nous croire
Sors lentement, les bras levés
Mets tes mains là où je peux les voir
J'ai enlevé
Des millions d'épines de mes pieds
Je grimpe toujours, vite
Si je glisse
N'hésite pas, je réessayerai
Je serai beaucoup plus prudent
Je prends mon élan et je saute
Tu n'auras pas assez de ville pour courir
Cache-toi, j'arrive
Je me suis souvenu
En voyant ton visage pour la dernière fois
C'était toi, je t'ai retrouvé
Mes volontés tirent fort maintenant
Mon envie d'appeler
A haute voix tes maudites attentions
La fièvre monte chez ce pauvre muscle impatient
Je me sépare déjà de l'enveloppe
De l'inutilité
Du poids mort de ce corps squelettique
Les yeux fermés, la bouche ouverte, je compte jusqu'à trois et je sors
(Un, deux, trois...)
Et là-bas, nous chercherons le méchant
Et les gentils devront nous croire
Sors lentement, les bras levés
Mets tes mains là où je peux les voir
Et là-bas, nous chercherons le méchant
Et les gentils devront nous croire
Sors lentement, les bras levés
Mets tes mains là où je peux les voir
Et là-bas, nous chercherons le méchant
Et les gentils devront nous croire
Sors lentement, les bras levés
Mets tes mains là où je peux les voir