Текст и перевод песни Jackie Evancho - The Star-Spangled Banner

The Star-Spangled Banner

Oh, say can you see by the dawn's early light
What so proudly we hailed at the twilight's last gleaming?
Whose broad stripes and bright stars thru the perilous fight,
O'er the ramparts we watched were so gallantly streaming?
And the rocket's red glare, the bombs bursting in air,
Gave proof through the night that our flag was still there.
Oh, say does that star-spangled banner yet wave
O'er the land of the free and the home of the brave?

On the shore, dimly seen through the mists of the deep,
Where the foe's haughty host in dread silence reposes,
What is that which the breeze, o'er the towering steep,
As it fitfully blows, half conceals, half discloses?
Now it catches the gleam of the morning's first beam,
In full glory reflected now shines in the stream:
'Tis the star-spangled banner! Oh long may it wave
O'er the land of the free and the home of the brave!

And where is that band who so vauntingly swore
That the havoc of war and the battle's confusion,
A home and a country should leave us no more!
Their blood has washed out their foul footsteps' pollution.
No refuge could save the hireling and slave
From the terror of flight, or the gloom of the grave:
And the star-spangled banner in triumph doth wave
O'er the land of the free and the home of the brave!

Oh! thus be it ever, when freemen shall stand
Between their loved home and the war's desolation!
Blest with victory and peace, may the heav'n rescued land
Praise the Power that hath made and preserved us a nation.
Then conquer we must, when our cause it is just,
And this be our motto: "In God is our trust."
And the star-spangled banner in triumph shall wave
O'er the land of the free and the home of the brave!

La Bannière étoilée

Oh, dis-moi, peux-tu voir à la lumière du petit matin
Ce que nous avons si fièrement salué au dernier éclair du crépuscule ?
Dont les larges bandes et les brillantes étoiles à travers le combat périlleux,
Sur les remparts que nous avons regardés, flottait si galamment ?
Et la lueur rouge de la fusée, les bombes éclatant dans les airs,
Ont prouvé à travers la nuit que notre drapeau était toujours là.
Oh, dis-moi, cette bannière étoilée flotte-t-elle encore
Sur la terre des libres et le foyer des braves ?

Sur le rivage, à peine visible à travers les brumes de la profondeur,
Où l'hôte arrogant de l'ennemi se repose dans un silence effrayant,
Qu'est-ce que la brise, sur la pente imposante,
Alors qu'elle souffle par intermittence, cache à moitié, révèle à moitié ?
Maintenant, elle capte la lueur du premier rayon du matin,
En pleine gloire réfléchie, brille maintenant dans le courant :
C'est la bannière étoilée ! Oh, puisse-t-elle flotter longtemps
Sur la terre des libres et le foyer des braves !

Et où est cette bande qui a si vaniteusement juré
Que les ravages de la guerre et la confusion de la bataille,
Un foyer et un pays ne nous laisseraient plus !
Leur sang a lavé la pollution de leurs sales pas.
Aucun refuge ne pouvait sauver le mercenaire et l'esclave
De la terreur de la fuite, ou de la tristesse du tombeau :
Et la bannière étoilée flotte en triomphe
Sur la terre des libres et le foyer des braves !

Oh ! qu'il en soit ainsi à jamais, lorsque les hommes libres se tiendront
Entre leur foyer bien-aimé et la désolation de la guerre !
Béni par la victoire et la paix, puisse le pays sauvé par le ciel
Louer la Puissance qui nous a fait et préservé une nation.
Alors nous devons vaincre, quand notre cause est juste,
Et que ceci soit notre devise : « En Dieu est notre confiance. »
Et la bannière étoilée flottera en triomphe
Sur la terre des libres et le foyer des braves !