Текст и перевод песни Jane Birkin - Amour Des Feintes - Live Au Palace 2009

Amour Des Feintes - Live Au Palace 2009

Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Cartes en quinte
S′édifiant
Le palais d'un prince
Catalan
Amours des feintes
Seul un can-
Délabre scint-
Ille au vent
Où l′on emprunte
Des sentiments
Le labyrinthe
Obsédant
Et comme si de rien n'était
On joue à l'émotion
Entre un automne et un été
Mensonge par omission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Etrange crainte
En écoutant
Les douces plaintes
Du vent
Amours des feintes
Au présent
Et l′on s′éreinte

Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se mainte-
Nir longtemps
Le temps ne peut-il s′arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant
Amours des feintes
Au loin j′entends
Là-bas qui tinte
Le temps
De ces empreintes
De nos vingt ans
Ne restent que les teintes
D'antan
Qui peut être et avoir été
Je pose la question
Peut-être étais-je destinée
A rêver d′évasion.

Amour Des Feintes - Live Au Palace 2009

Infatuations of fear
Of pretence
Defunct Infanta
Strutting
Straight flushes
Preening
The palace of a prince
Catalan
Infatuations of fear
Just a can-
Dilapidate scin-
Tilla to the wind
Where one borrows
Emotions
The maze
Obsessive
And as if nothing had happened
We toy with emotion
Between an autumn and a summer
Lie of omission
Infatuations of fear
Of pretence
Defunct Infanta
Strutting
Strange fear
Listening to
The soft complaints
Of the wind
Infatuations of fear
In the present
And we toil

Out of time
And yet many
Times one reaches
To main-
Tain long
Can't time stop
Amidst the flames of our passions
It consumes them mercilessly
And without remission
Infatuations of fear
Of pretence
Defunct Infanta
Strutting
Color of absinthe
Smell of time
Never will I be
As before
Infatuations of fear
Far away I hear
Over there it rings
The time
Of those imprints
Of our twenties
Only the hues remain
Of yesteryear
Who can be and have been
I ask the question
Perhaps I was destined
To dream of escape.