Текст и перевод песни Jerry Williams - Left and Right

Left and Right

You think you're cool, when you wear your hat
You're not the only one who owns one like that
Lend me your jacket when it gets cold
You're no gentleman that trick's well old
The road is long, but I got time
Don't you ever want to be mine
In all the trains and planes and cars
Midnight streets and busy bars I can't find anyone like you
So you go left and I'll go right
You be morning and I'll be night
You go left, and I'll go right
You wear black and I'll wear white
Don't look at me with those empty eyes
I like your shoes their just my size
I think I like them more than you
I'm very sorry but it's true this, paths not wide enough for two
So you go left and I'll go right
You be morning and I'll be night
You go left, and I'll go right
You wear black and I'll wear white
Let's make a deal that you'll forget my name
Let's keep it real we once thought the same
Let's make a deal that you'll forget my name
Let's keep it real we once thought the same

Gauche et Droite

Tu penses être cool, quand tu portes ton chapeau
Tu n'es pas le seul à en avoir un comme ça
Prête-moi ta veste quand il fera froid
Tu n'es pas un gentleman, ce truc est vieux
La route est longue, mais j'ai du temps
Tu ne veux jamais être à moi ?
Dans tous les trains et les avions et les voitures
Rues de minuit et bars bondés, je ne trouve personne comme toi
Alors tu vas à gauche et j'irai à droite
Tu seras le matin et je serai la nuit
Tu vas à gauche, et j'irai à droite
Tu portes du noir et je porterai du blanc
Ne me regarde pas avec ces yeux vides
J'aime tes chaussures, elles sont à ma taille
Je pense que je les aime plus que toi
Je suis vraiment désolé, mais c'est vrai, ce chemin n'est pas assez large pour deux
Alors tu vas à gauche et j'irai à droite
Tu seras le matin et je serai la nuit
Tu vas à gauche, et j'irai à droite
Tu portes du noir et je porterai du blanc
Faisons un marché, tu oublieras mon nom
Soyons réalistes, on pensait tous les deux la même chose
Faisons un marché, tu oublieras mon nom
Soyons réalistes, on pensait tous les deux la même chose