Текст и перевод песни Jethro Tull - Mountain Men

Mountain Men

The poacher and his daughter
Throw soft shadows on the water in the night.
A thin moon slips behind them
As they pull the net with no betraying light.
And later on the coast road, I meet them
And the old man winks a smile.
And who am I to fast deny the right
To take a fish once in a while?
I walk with them, they wish me luck
When I ship out on the Sunday from the kyle.
And from the church I hear them singing
As the ship moves sadly from the pier.
Oh, poacher′s daughter, Sunday best,
Two hundred brave souls share the farewell tear.

There's a house on the hillside, where the drifting sands are born.
Lay down and let the slow tide wash me
Back to the land where I came from.
Where the mountain men are kings
And the sound of the piper counts for everything.

Did my tour, did my duty. I did all they asked of me.
Died in the trenches and at El Alamein
...died in the Falklands on T.V.
Going back to the mountain kings
Where the sound of the piper counts for everything.

Long generations from the Isles
Sent to tread the foreign miles
Where the spiral ages meet.
Felt naked dust beneath their feet.
Future sun called winds to blow
And the past and present hard-eyed crow
Flew hunting high and circling low over blackened plains of Eden.

There′s a child and a woman praying for an end to the mystery.
Hoping for a word in a letter
Fair wind-blown from across the sea
To where the mountain men are kings
And the sound of the piper counts for eveything.

There's a house on the hillside, where the drifting sands are born.
Lay down and let the slow tide wash me
Back to the land where I came from.
Where the mountain men are kings
And the sound of the piper counts for everything.
Where the real mountain men are kings
And the sound of the piper counts for everything.

Feel the naked dust beneath my toes
While the future sun calls winds to blow
And the past and present black-eyed crow
Flies hunting high and circling low
Between dream mountains of our Eden.

Hommes de la Montagne

Le braconnier et sa fille
Jettent de douces ombres sur l'eau dans la nuit.
Une fine lune glisse derrière eux
Alors qu'ils tirent le filet sans lumière traîtresse.
Et plus tard, sur la route côtière, je les rencontre
Et le vieil homme me fait un clin d'œil.
Et qui suis-je pour refuser le droit
De prendre un poisson de temps en temps ?
Je marche avec eux, ils me souhaitent bonne chance
Lorsque je pars en mer le dimanche depuis le kyle.
Et de l'église, je les entends chanter
Alors que le navire s'éloigne tristement de la jetée.
Oh, fille du braconnier, en tenue du dimanche,
Deux cents âmes courageuses partagent la larme d'adieu.

Il y a une maison sur la colline, là où naissent les sables mouvants.
Allonge-toi et laisse la marée lente me laver
Retour à la terre d'où je viens.
Où les hommes de la montagne sont rois
Et le son du cornemuse compte pour tout.

J'ai fait mon tour, j'ai fait mon devoir. J'ai fait tout ce qu'ils m'ont demandé.
Je suis mort dans les tranchées et à El Alamein
... je suis mort aux Malouines à la télé.
Je retourne aux rois de la montagne
Où le son du cornemuse compte pour tout.

De longues générations des îles
Envoyées pour parcourir les milles étrangers
Où les âges en spirale se rencontrent.
Ont senti la poussière nue sous leurs pieds.
Le soleil futur a appelé les vents à souffler
Et le passé et le présent, la corneille aux yeux durs
Volait haut et en cercles bas au-dessus des plaines noires d'Eden.

Il y a un enfant et une femme qui prient pour une fin au mystère.
Espérant un mot dans une lettre
Vent favorable qui souffle de l'autre côté de la mer
Vers l'endroit où les hommes de la montagne sont rois
Et le son du cornemuse compte pour tout.

Il y a une maison sur la colline, là où naissent les sables mouvants.
Allonge-toi et laisse la marée lente me laver
Retour à la terre d'où je viens.
Où les hommes de la montagne sont rois
Et le son du cornemuse compte pour tout.
Où les vrais hommes de la montagne sont rois
Et le son du cornemuse compte pour tout.

Sente la poussière nue sous mes orteils
Alors que le soleil futur appelle les vents à souffler
Et le passé et le présent, la corneille aux yeux noirs
Vole haut et en cercles bas
Entre les montagnes de rêve de notre Eden.