Текст и перевод песни Joan Baez - Tramp On The Street

Tramp On The Street

Only a tramp was Lazarus that day
He lay down by the rich man's gate
He begged for food crumbs the rich man to eat
But they left him to die like a tramp on the street
He was somebody's darling, he was some mother's son
Once he was fair and once he was young
Some mother, she rocked him, her little darling to sleep
But they left him to die like a tramp on the street
Jesus, who died on Calvary's tree
Shed his life blood for you and for me
They pierced his side, his hands and his feet
And they left Him to die like a tramp on the street
He was Mary's own darling, God's chosen one
Once he was fair and once he was young
Mary, she rocked him, her little darling to sleep
But they left him to die like a tramp on the street
When the battles are over and the victory's won
Everyone mourns for the poor man's son
Red, white and blue and victory sweet
And they left him to die like a tramp on the street
He was somebody's darling, he was some mother's son
Once he was fair and once he was young
Some mother, she rocked him, her little darling to sleep
But they left him to die like a tramp on the street

Tramp On The Street

Ce n'était qu'un vagabond, Lazare ce jour-là
Il était couché devant la porte du riche
Il a mendié des miettes de pain au riche
Mais ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue
Il était le chéri de quelqu'un, le fils de quelque mère
Autrefois, il était beau et jeune
Une mère, elle le berçait, son petit chéri pour l'endormir
Mais ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue
Jésus, qui est mort sur l'arbre du Calvaire
A versé son sang pour toi et pour moi
Ils ont percé son côté, ses mains et ses pieds
Et ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue
Il était le chéri de Marie, l'élu de Dieu
Autrefois, il était beau et jeune
Marie, elle le berçait, son petit chéri pour l'endormir
Mais ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue
Quand les batailles seront terminées et que la victoire sera gagnée
Tout le monde pleurera le fils du pauvre
Rouge, blanc et bleu et victoire douce
Et ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue
Il était le chéri de quelqu'un, le fils de quelque mère
Autrefois, il était beau et jeune
Une mère, elle le berçait, son petit chéri pour l'endormir
Mais ils l'ont laissé mourir comme un vagabond dans la rue