Текст и перевод песни Joanna Newsom - Sapokanikan

Sapokanikan

The cause is Ozymandian
The map of Sapokanikan
Is sanded and bevelled
The land lorn and levelled
By some unrecorded and powerful hand
Which plays along the monument
And drums upon a plastic bag
The brave-men-and-women-so-dear-to-God-
And-famous-to-all-of-the-ages rag
Sang: Do you love me?
Will you remember?
The snow falls above me
The renderer renders:
The event is in the hand of God
Beneath a patch of grass, her
Bones the old Dutch master hid
While elsewhere Tobias
And the angel disguise
What the scholars surmise was a mother and kid
Interred with other daughters
In dirt in other potters′ fields
Above them, parades
Mark the passing of days
Through parks where pale colonnades arch in marble and steel
Where all of the twenty-thousand attending your footfall
And the causes they died for are lost in the idling bird calls
And the records they left are cryptic at best
Lost in obsolescence
The text will not yield, nor x-ray reveal
With any fluorescence
Where the hand of the master begins and ends
I fell, I tried to do well but I won't be
Will you tell the one that I love to remember and hold me
I call and call for the doctor
But the snow swallows me whole with ol′ Florry Walker
And the event lives only in print
He said:
"It's alright"
And "It's all over now"
And boarded the plane
His belt unfastened
The boy was known to show unusual daring
And, called a "boy"
This alderman, confounding Tammany Hall
In whose employ King Tamanend himself preceeded John′s fall
So we all raise a standard
To which the wise and honest soul may repair
To which a hunter
A hundred years from now, may look and despair
And see with wonder
The tributes we have left to rust in the parks
Swearing that our hair stood on end
To see John Purroy Mitchel depart
For the Western front where our work might count
O mercy! O God!
Go out, await the hunter to decipher the stone
And what lies under the city is gone
Look and despair
Look and despair

Sapokanikan

La cause est Ozymandian
La carte de Sapokanikan
Est sablée et biseautée
La terre désolée et nivelée
Par une main inconnue et puissante
Qui joue le long du monument
Et frappe sur un sac en plastique
Les braves hommes et femmes si chers à Dieu-
Et célèbres à tous les âges
Chantaient : M'aimes-tu ?
Te souviendras-tu ?
La neige tombe au-dessus de moi
Le rendu rend :
L'événement est entre les mains de Dieu
Sous un bout d'herbe, ses
Os que le vieux maître hollandais a cachés
Tandis qu'ailleurs Tobias
Et l'ange déguisé
Ce que les érudits supposent était une mère et un enfant
Enterrés avec d'autres filles
Dans la terre dans d'autres champs de potiers'
Au-dessus d'eux, des défilés
Marquent le passage des jours
À travers des parcs où de pâles colonnades s'élèvent en marbre et en acier
Où tous les vingt mille qui assistent à ton pas
Et les causes pour lesquelles ils sont morts sont perdues dans les appels des oiseaux
Et les dossiers qu'ils ont laissés sont au mieux cryptiques
Perdus dans l'obsolescence
Le texte ne cèdera pas, ni les rayons X ne révéleront
Avec aucune fluorescence
Où la main du maître commence et finit
Je suis tombée, j'ai essayé de bien faire mais je ne serai pas
Veux-tu dire à celle que j'aime de se souvenir et de me tenir
J'appelle et j'appelle le médecin
Mais la neige m'avale tout entière avec Ol' Florry Walker
Et l'événement ne vit que dans l'imprimé
Il a dit :
« C'est bon »
Et « Tout est fini maintenant »
Et a embarqué dans l'avion
Sa ceinture débouclée
Le garçon était connu pour faire preuve d'une audace inhabituelle
Et, appelé un « garçon »
Cet échevin, déjouant Tammany Hall
À l'emploi de qui le roi Tamanend lui-même précéda la chute de John'
Alors nous élevons tous un étendard
Vers lequel l'âme sage et honnête peut se rendre
Vers lequel un chasseur
Cent ans plus tard, peut regarder et désespérer
Et voir avec émerveillement
Les tributs que nous avons laissés rouiller dans les parcs
Jurant que nos cheveux se sont dressés sur la tête
Pour voir John Purroy Mitchel partir
Pour le front occidental où notre travail pourrait compter
Ô miséricorde ! Ô Dieu !
Sors, attends le chasseur pour déchiffrer la pierre
Et ce qui se trouve sous la ville est parti
Regarde et désespère
Regarde et désespère