Текст и перевод песни Johnny Hallyday - Quelques cris (Live à la tour Eiffel, Paris / 2000)

Quelques cris (Live à la tour Eiffel, Paris / 2000)

Le premier cri que j'ai pousséC'était un
Cri de nouveau-néLe jour où ma mère me mit bas
Nu, sanglant, entre des draps
L'éclat du soleil me fit peur
La deuxième fois que j'ai criéCe fut un
Cri de voluptéLorsqu'une femme m'attira
Nu, tremblant, entre ses bras
L'éclat du plaisir me fit peur, me fit peur
J'avais le regard affaméL'air égaré du
Mal-aiméL'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Le troisième cri que j'ai lancéFut celui
De l'homme combléLorsque la foule me rappela
En scène, pour la dixième fois
L'éclat du succès me fit peur, me fit peur
Si aujourd'hui, je ne crie plus
C'est qu'une autre a pris le dessus
Elle parle peu elle parle bas
La solitude brise ma voix
L'écho de ma vie me fait, peur me fait peur
J'avais le regard affaméL'air égaré du
Mal-aiméL'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient

Some Screams (Live at the Eiffel Tower, Paris / 2000)

The first scream I let outWas a
Cry of a newbornThe day my mother gave birth to me
Naked, bloody, between sheets
The glare of the sun frightened me
The second time I screamedIt was a
Cry of pleasureWhen a woman attracted me
Naked, trembling, in her arms
The glare of pleasure frightened me, frightened me
I had a famished lookThe bewildered look of
The unlovedThe look of a boy who doesn't know
That two bodies sometimes ignite
That two bodies sometimes ignite
The third scream I let outWas that
Of a fulfilled manWhen the crowd called me back
On stage, for the tenth time
The glare of success frightened me, frightened me
If today, I no longer scream
It's because another has taken over
She speaks softly and low
Solitude breaks my voice
The echo of my life scares me, scares me
I had a famished lookThe bewildered look of
The unlovedThe look of a boy who doesn't know
That two bodies sometimes ignite
That two bodies sometimes ignite