Текст и перевод песни Johnny Hallyday - Si tu pars (Live au Palais Omnisports de Paris Bercy)

Si tu pars (Live au Palais Omnisports de Paris Bercy)

Je veux que la terre entière se couvre de brouillard
Et que le silence s'installe dans les villages
Que plus rien ne bouge en vie et sur les plages
Qu'on n'entende que le vent
Qui hurle, qui crie, et qui comprend
Je veux qu'on brûles les violons et les guitares
Qu'on renvoie les musiciens et les poètes
Qu'on oublie Noël et tous les jours de fête
Qu'on exile les oiseaux
Que l'on bannisse ce qui est beau
Je veux que tous les trains du monde
Restent dans leur gare
Je veux qu'on bloque les routes
Qu'on ferme les frontières
Qu'on instaure le couvre feu, le droit de guerre
Que le riff soit interdit
Que le plaisir soit aboli
Je veux qu'on bloque les routes
Qu'on ferme les frontières
Qu'o instaure le couvre feu, le droit de guerre
Que le riff soit interdit
Que le plaisir soit aboli
Je veux que la terre entière se couvre de brouillard
Et que le silence s'installe dans les villages
Que plus rien ne bouge en ville et sur les plages
Qu'on entende que le vent
Qui hurle qui crie, et qui comprend

If You Leave (Live at the Palais Omnisports de Paris Bercy)

I want the whole world to be covered in fog
And for silence to settle in the villages
That nothing more moves alive on the beaches
That all we hear is the wind
That howls, that cries, and that understands
I want us to burn the violins and the guitars
For us to send away the musicians and the poets
That we forget Christmas and all of the festive days
That we exile the birds
That we banish what is beautiful
I want all of the trains in the world
To stay in their stations
I want us to block the roads
That we close the borders
That we establish a curfew, the right to war
That the riff be forbidden
That pleasure be abolished
I want us to block the roads
That we close the borders
That we establish a curfew, the right to war
That the riff be forbidden
That pleasure be abolished
I want the whole world to be covered in fog
And for silence to settle in the villages
That nothing more moves in the city or on the beaches
That all we hear is the wind
That howls, that cries, and that understands