Текст и перевод песни Johnny Logan - Long Lie The Rivers

Long Lie The Rivers

Lyrics to Long Lie The Rivers
Johnny Logan

Long Lie The Rivers

Based on the poem "September 1913", by W.B. Yeats
Long lie the rivers and green are the mountains
The hopes and the dreams of a nation so small
Land of the scholars, the saints and tomorrow
Oh land of my father recall

Was it for this that wild geese spread
The grey wing on every tide
For this that all that blood was shed
For this Edward Fitzgerald died
And Robert Emmet and Wolfe Tone
All the delirium of the brave
Romantic Ireland's dead and gone
It's with O'Leary in the grave

Long lie the rivers and green are the mountains
The hopes and the dreams of a nation so small
Land of the scholars, the saints and tomorrow
Oh land of my father recall

Yet should we turn the years again
And call those exiles, as they were
In all their loneliness and pain
You'd cry, some woman's yellow hair
Had maddened every mother's son
They weighed so lightly what they gave
But let them be, they're dead and gone
They're with O'Leary in the grave

Long lie the rivers and green are the mountains
The hopes and the dreams of a nation so small
Land of the scholars, the saints and tomorrow
Oh land of my father recall

Long lie the rivers and green are the mountains
The hopes and the dreams of a nation so small
Land of the scholars, the saints and tomorrow
Oh land of my father recall

Les rivières coulent longuement

Paroles de Les rivières coulent longuement
Johnny Logan

Les rivières coulent longuement

Basé sur le poème "Septembre 1913", de W.B. Yeats
Les rivières coulent longuement et les montagnes sont vertes
Les espoirs et les rêves d'une nation si petite
Terre des érudits, des saints et de demain
Ô terre de mon père, rappelle-toi

Était-ce pour cela que les oies sauvages se sont répandues
L'aile grise sur chaque marée
Pour cela que tout ce sang a été versé
Pour cela qu'Edward Fitzgerald est mort
Et Robert Emmet et Wolfe Tone
Tout le délire des braves
L'Irlande romantique est morte et partie
C'est avec O'Leary dans la tombe

Les rivières coulent longuement et les montagnes sont vertes
Les espoirs et les rêves d'une nation si petite
Terre des érudits, des saints et de demain
Ô terre de mon père, rappelle-toi

Pourtant, devrions-nous tourner les années en arrière
Et appeler ces exilés, comme ils étaient
Dans toute leur solitude et leur douleur
Tu crierais, les cheveux jaunes d'une femme
Avait rendu fou chaque fils de mère
Ils ont si peu pesé ce qu'ils ont donné
Mais laisse-les être, ils sont morts et partis
Ils sont avec O'Leary dans la tombe

Les rivières coulent longuement et les montagnes sont vertes
Les espoirs et les rêves d'une nation si petite
Terre des érudits, des saints et de demain
Ô terre de mon père, rappelle-toi

Les rivières coulent longuement et les montagnes sont vertes
Les espoirs et les rêves d'une nation si petite
Terre des érudits, des saints et de demain
Ô terre de mon père, rappelle-toi