Текст и перевод песни Johnny Reid - Sixty To Zero

Sixty To Zero

She had blue eyes
The color of Amarillo skies in summer
And when we'd fly
Her hair would wrap around me

The smell of leather and gasoline
A little danger sitting next to me
And when I was with her
Man, I never felt so alive

Sky was red, I was green
World was black, Seventeen
She was fast, I was slow
She was all I could hold

Summer flew, She was gone
Little did I know my heart could go
From sixty to zero

We'd sit in my car
Night after night
Watching the stars as they flew by
We'd go around the world at the speed of light
And never turn the key

Still I wonder where she might be
And if she ever stops and thinks about me
Cause God knows, I sure think about her

Sky was red
I was green
World was black
Seventeen
She was fast
I was slow
She was all I could hold

Summer flew, She was gone
Little did I know my heart could go
From sixty to zero
Sixty to zero...

We loved and laughed
And loved and laughed enough to last a lifetime
At least for a little while, she was mine

Sky was red
I was green
World was black
Seventeen
She was fast
I was slow
She was all I could hold

Sun was blue
She was gone
Little did I know my heart could go
From sixty to zero

De soixante à zéro

Elle avait les yeux bleus
La couleur du ciel d'Amarillo en été
Et quand on volait
Ses cheveux s'enroulaient autour de moi

L'odeur du cuir et de l'essence
Un peu de danger assis à côté de moi
Et quand j'étais avec elle
Mec, je ne me suis jamais senti aussi vivant

Le ciel était rouge, j'étais vert
Le monde était noir, dix-sept ans
Elle était rapide, j'étais lent
Elle était tout ce que je pouvais tenir

L'été a volé, elle est partie
Je ne savais pas que mon cœur pouvait aller
De soixante à zéro

On s'asseyait dans ma voiture
Nuit après nuit
En regardant les étoiles passer
On faisait le tour du monde à la vitesse de la lumière
Et on ne tournait jamais la clé

Je me demande encore où elle pourrait être
Et si elle s'arrête un instant et pense à moi
Parce que Dieu sait, je pense beaucoup à elle

Le ciel était rouge
J'étais vert
Le monde était noir
Dix-sept ans
Elle était rapide
J'étais lent
Elle était tout ce que je pouvais tenir

L'été a volé, elle est partie
Je ne savais pas que mon cœur pouvait aller
De soixante à zéro
De soixante à zéro...

On s'aimait et on riait
Et on s'aimait et on riait assez pour durer toute une vie
Au moins pour un moment, elle était à moi

Le ciel était rouge
J'étais vert
Le monde était noir
Dix-sept ans
Elle était rapide
J'étais lent
Elle était tout ce que je pouvais tenir

Le soleil était bleu
Elle est partie
Je ne savais pas que mon cœur pouvait aller
De soixante à zéro