Текст и перевод песни Jonas Sanche - Llevo Dependiendo

Llevo Dependiendo

Oye discúlpame por no tener nada de lo que sirve
Deje de ser el prototipo de hombre invencible
Hoy llueve tanto sobre mojado

Que nadando me convino
Puedo morir tranquilo
En el mar que se ha creado
Vivo deprimido retraído y cambiado
Sintiendo la mierda que soy frente a tu estilo de vida

Apagado suena crudo
Pero el pasado trae culpa
Las consecuencias llegan hoy sin frenos en las curvas
Y es que nunca habrá un puto día de paz
Para un tipo como yo lleno de problemas

Y escenas traumas y ceguera
Actitudes traicioneras
Y cara de dudas en la cera
Trato de ser sincero
Espera que esto recién comienza
No tengo plata pa llamarte
Ni tiempo pa' tomar micro gratis
Aunque mantengo la esperanzas

Sé que alimentes tu ilusión con el principio de la relación
Pero a ti eso no te alcanza
La paciencia se desvanece exhausta
Y mientras cavas cada vez
Se sientes menos nuestra presencia que le encanta es macha

Casi ni nos vemos por mi problema de plata
Responsabilidad que mata y el trabajo no es que lo evada
Es que debo ganarme la vida escribiendo rimas

Fumando la ira bebiendo semana a semana, semana
Invirtiendo el poco tiempo que me queda de era humana
Desmenuzada la moral del hombre por billete que
No compran nada mas que problemas

En cada estación del año que por el comercio
Han sido designadas
Muchas veces decidí no decir nada
A pesar de lo complicado de las situaciones
Pa' dar la espalda y en el corazón que es tuyo

Y con toda razón te intuyo murmullo en la oreja
Con boca seca y con convocatorias de manos con pasión
Cuanto del tiempo llevo dependiendo
Hablando las palabras se nos van volando

Caminos inciertos son lo que yo tengo
Difícil mi vida ya no puedo ocultarlo
No dejo de sentir culpa por lo de siempre
Tampoco por hundirnos en momentos de cambio
La vida es la culpabley debo ser fuerte
Si pretendo seguir vivo y andando

Pude verte llorar quemarme en cada una de tus lagrimas
Y es que la vida pa' mi es una sátira que en torno
A errores gira no me merezco ninguna de tus caricias
Me dije pero ella no imagina que los días conmigo

Son grises mas que felices
Porque soy de esos drogos alcohólicos que verdades dicen
Que se amaman libre que si fallan sufren
Que conocen el asfalto de frente

Han sido traicionado por un friend fue fácil fortalecerme
En mi fortaleza de fe por que por ese gran hijo de pu.
Ya se que debo hacer hoy no soy débil dime blond
Como un hedi o como un blond en la mano del daddy

A veces me siento vacío como mil latas de spray en la estanterías
Que estaban llenas de gloria se que debo verte con 3 ojos
Y tocarte con 4 brazos como si fuera un mono del edorian
Estoy lleno de historia y histeria y paranoia

Por eso me encierro en el rap pa' no sentirme
Una escoria no olvidar que reírnos del ego
De los raperos siempre han sido nuestra risa fundamental
Aunque la alegría del momento no ayude a borrar

Y aunque yo sea un weon feo y tu bella me has de celar
Casi con medida cautelar avece las discusiones
No se arreglan ni con hablar ni con culiar desafino
Como este piano desafino que a veces carece de calor humano

Me descarrilo y vivo el filo y nunca es en vano
El destino es un hijo de puta arrepentido y despechado el rencor
Es conmigo mismo por el error hablado
Soy una mierda en la fecha lo han notado es

Por la presión del miedo involucrado en cada situación vengo
Con el diablo de abogado a pedirte perdón cuanto del tiempo
Llevo dependiendo hablando las palabras se nos van volando
Caminos inciertos son lo que yo tengo difícil mi vida

Ya no puedo ocultarlo no dejo de sentir culpa por lo de siempre
Tampoco por hundirnos en momentos de cambio
La vida es la culpable y debo ser fuerte
Si pretendo seguir vivo y andando

Y andando, y andando
Cuando llevo dependiendo
Desafino como este piano

Je dépends

Hé, excuse-moi de ne pas avoir ce qu'il faut,
J'ai cessé d'être le prototype de l'homme invincible.
Aujourd'hui, il pleut tellement sur le mouillé

Qu'en nageant, j'en suis convaincu,
Je peux mourir tranquille
Dans cette mer qui s'est créée.
Je vis déprimé, replié sur moi-même et changé,
Réalisant la merde que je suis face à ton style de vie.

Dit comme ça, c'est cru,
Mais le passé me hante de culpabilité.
Les conséquences arrivent aujourd'hui sans freiner dans les virages,
Et il n'y aura jamais un putain de jour de paix
Pour un type comme moi, rempli de problèmes.

Des scènes, des traumatismes et de l'aveuglement,
Des attitudes traîtresses
Et un visage rempli de doutes reflété dans le bitume.
J'essaie d'être sincère,
Attends, ça ne fait que commencer.
Je n'ai pas d'argent pour t'appeler,
Ni le temps de prendre le bus gratuitement,
Même si je garde espoir.

Je sais que tu nourris ton illusion avec le début de la relation,
Mais ça ne te suffit pas.
La patience s'évanouit, épuisée,
Et plus tu creuses,
Moins tu sens notre présence, toi qui aimes tellement quand c'est intense.

On se voit à peine à cause de mes problèmes d'argent,
Une responsabilité qui tue, et ce n'est pas que j'évite le travail,
C'est que je dois gagner ma vie en écrivant des rimes.

Fumant ma colère, buvant semaine après semaine,
Investissant le peu de temps qu'il me reste de mon existence humaine,
La morale de l'homme est déchiquetée par des billets qui
N'achètent rien d'autre que des problèmes

À chaque saison de l'année,
Qui ont été conçues pour le commerce.
Souvent, j'ai décidé de ne rien dire,
Malgré la complexité des situations,
Pour te protéger et dans ton cœur qui est à toi.

Et avec raison, j'entends ton murmure à mon oreille,
La bouche sèche et les mains tendues avec passion.
Depuis combien de temps suis-je dépendant ?
Les mots s'envolent en les prononçant.

J'ai des chemins incertains devant moi,
Ma vie est difficile, je ne peux plus le cacher.
Je n'arrête pas de me sentir coupable pour les mêmes raisons,
Coupable aussi de nous enfoncer dans des moments difficiles.
La vie est la seule coupable, et je dois être fort
Si je veux rester en vie et continuer à avancer.

J'ai pu te voir pleurer, me consumer dans chacune de tes larmes.
La vie pour moi est une satire qui tourne autour
Des erreurs, je ne mérite aucune de tes caresses,
Me dis-je, mais tu n'imagines pas que les jours avec moi

Sont plus gris qu'heureux.
Parce que je suis du genre drogué, alcoolique, qui dit la vérité,
Qui aime librement, qui souffre quand il échoue,
Qui connaît l'asphalte comme sa poche.

J'ai été trahi par un ami, c'était facile de me fortifier
Dans ma forteresse de foi, grâce à ce grand fils de pute.
Maintenant je sais ce que j'ai à faire, aujourd'hui je ne suis pas faible, dis-moi ma blonde,
Comme un joint ou comme un flingue dans la main de papa.

Parfois, je me sens vide comme mille bombes de peinture sur l'étagère,
Qui étaient autrefois pleines de gloire. Je sais que je dois te voir avec 3 yeux
Et te toucher avec 4 bras comme un singe d'Endor.
Je suis rempli d'histoires, d'hystérie et de paranoïa,

C'est pour ça que je me réfugie dans le rap pour ne pas me sentir
Comme une ordure. N'oublie jamais que rire de l'ego
Des rappeurs a toujours été notre rire fondamental,
Même si la joie du moment n'aide pas à effacer.

Et même si je suis un mec moche et que tu es belle, tu dois me jalouser,
Presque avec une ordonnance restrictive. Parfois, les disputes
Ne se règlent ni en parlant ni en baisant. Je suis désaccordé
Comme ce piano désaccordé qui manque parfois de chaleur humaine.

Je déraille, je vis sur le fil du rasoir et ce n'est jamais vain.
Le destin est un fils de pute, repentant et déçu. La rancune
Est envers moi-même, à cause des paroles prononcées.
Je suis une merde aujourd'hui, vous l'avez remarqué, c'est

À cause de la pression de la peur impliquée dans chaque situation. Je viens
Avec le diable comme avocat pour te demander pardon. Depuis combien de temps
Suis-je dépendant ? Les mots s'envolent en les prononçant.
J'ai des chemins incertains devant moi, ma vie est difficile,

Je ne peux plus le cacher. Je n'arrête pas de me sentir coupable pour les mêmes raisons,
Coupable aussi de nous enfoncer dans des moments difficiles.
La vie est la seule coupable, et je dois être fort
Si je veux rester en vie et continuer à avancer.

Et continuer, et continuer,
Alors que je suis dépendant.
Je suis désaccordé comme ce piano.