Текст и перевод песни Joni Mitchell - The Fiddle And The Drum

The Fiddle And The Drum

And so once again
My dear Johnny, my dear friend
And so once again you are fightin′ us all
And when I ask you why
You raise your sticks and cry and I fall
Oh, my friend, how did you come
To trade the fiddle for the drum?

You say I have turned
Like the enemies you've earned
But I can remember all the good things you are
And so I ask you, please
Can I help you find the peace and the star?
Oh, my friend, what time is this
To trade the handshake for the fist?

And so once again
Oh, America, my friend
And so once again you are fighting us all
And when we ask you why
You raise your sticks and cry and we fall
Oh, my friend, how did you come
To trade the fiddle for the drum?

You say we have turned
Like the enemies you′ve earned
But we can remember all the good things you are
And so we ask you, please
Can we help you find the peace and the star?
Oh, my friend, we have all come
To fear the beating of your drum

Le violon et le tambour

Et donc, encore une fois
Mon cher Johnny, mon cher ami
Et donc, encore une fois, tu te bats contre nous tous
Et quand je te demande pourquoi
Tu lèves tes bâtons et tu cries, et je tombe
Oh, mon ami, comment en es-tu arrivé
À échanger le violon contre le tambour ?

Tu dis que j'ai changé
Comme les ennemis que tu as gagnés
Mais je me souviens de toutes les bonnes choses que tu es
Alors je te prie
Puis-je t'aider à trouver la paix et l'étoile ?
Oh, mon ami, à quelle heure est-ce
Échanger la poignée de main pour le poing ?

Et donc, encore une fois
Oh, Amérique, mon ami
Et donc, encore une fois, tu te bats contre nous tous
Et quand nous te demandons pourquoi
Tu lèves tes bâtons et tu cries, et nous tombons
Oh, mon ami, comment en es-tu arrivé
À échanger le violon contre le tambour ?

Tu dis que nous avons changé
Comme les ennemis que tu as gagnés
Mais nous nous souvenons de toutes les bonnes choses que tu es
Alors nous te prions
Puis-nous t'aider à trouver la paix et l'étoile ?
Oh, mon ami, nous sommes tous venus
À craindre le battement de ton tambour