Текст и перевод песни Jordan Reyne - The Piper I (Dance, Your Day Is Yet to Come)

The Piper I (Dance, Your Day Is Yet to Come)

So you ran from the quiet, cos it made you feel strange
And outside you heard voices and the pull of the crowd
So you ran amidst faces and fluttering hands
Oh you joined the parade of those smiles that avowed
Your day is yet to come

And amidst whirling dancers a man took your arm -
Offered up two for one, the best deal you could earn
He said "Pay nothing now. Just enjoy and enjoy
And come follow the witches while the beat still allows
Cos your day is yet to come"

So you banished the quiet, as a cure for your sanity
To shout with the rest, as a stage for your vanity
Oh don't look away from the heave of the masses
The Reaper, they say, does his work where the quiet is
And your day is yet to come!

But all fevers grow tired, though a crowd cannot see
And they'll pull you along on your stumbling feet
And you'll see in the shadows that stir on the sides
That the quiet still calls, which you swapped for the tide
Oh your day is yet to come?

So stop, and just breathe. And then do it again
And hope hard that the noise in your head will die down
Cos your ears they will ring till you know you've gone mad
And that someone has taken the one thing you had
And your day has been and gone

Le Piper I (Danse, Ton Jour Est Encore à Venir)

Alors tu as fui le calme, parce que ça te rendait bizarre
Et dehors tu as entendu des voix et l'appel de la foule
Alors tu as couru parmi les visages et les mains qui s'agitaient
Oh tu as rejoint le défilé de ces sourires qui juraient
Que ton jour est encore à venir

Et parmi les danseurs tourbillonnants, un homme a pris ton bras -
Il a offert un deux pour un, la meilleure affaire que tu pouvais gagner
Il a dit "Ne paie rien maintenant. Profite et profite
Et viens suivre les sorcières tant que le rythme le permet
Parce que ton jour est encore à venir"

Alors tu as banni le calme, comme un remède à ta santé mentale
Pour crier avec les autres, comme une scène pour ta vanité
Oh ne détourne pas les yeux du poids des masses
La Faucheuse, disent-ils, fait son travail là où le calme est
Et ton jour est encore à venir !

Mais toutes les fièvres finissent par se fatiguer, même si une foule ne peut pas le voir
Et ils te tireront en avant sur tes pieds qui chancellent
Et tu verras dans les ombres qui s'agitent sur les côtés
Que le calme appelle toujours, que tu as échangé contre la marée
Oh ton jour est encore à venir ?

Alors arrête, et respire. Et puis recommence
Et espère fort que le bruit dans ta tête s'éteindra
Parce que tes oreilles sonneront jusqu'à ce que tu saches que tu es devenu fou
Et que quelqu'un a pris la seule chose que tu avais
Et ton jour est passé et fini