Текст и перевод песни José María Napoleón - Cuando Te Perdí

Cuando Te Perdí

Cuando te perdí
No supe lo que hacer después de ti
Fui una estupidez
Un tonto que jamás te valoré

Cuando te ofendí
Dejando que te fueras provoqué
Perderte y perder
Lo poco que quedaba de mi ser

Cuando te perdí
Perdí lo único que en ti tenía mi lado
Y cuando te busqué te habías marchado
Que pobre, que insolente lastime

Todo aquel amor que tú
Con toda tu inocencia me habías dado
Herí tu corazón y hoy que a mi lado
Extraño tu calor, ya te perdí

Cuando te perdí
Me di de golpes contra la pared
Me di cuenta que
No te fuiste de mí, yo te alejé

Cuando te perdí
Perdí lo único que en ti tenía a mi lado
Y cuando te busqué te habías marchado
Que pobre, que insolente lastime

Todo aquel amor que tú
Con toda tu inocencia me habías dado
Herí tu corazón y hoy que a mi lado
Extraño tu calor ya te perdí

Creí que te tenía en un puño de mi mano
Al alcance del deseo de mis labios, ha
Pobre infeliz

Quand Je T'ai Perdue

Quand je t'ai perdue
Je ne savais pas quoi faire après toi
J'étais un idiot
Un imbécile qui ne t'a jamais apprécié

Quand je t'ai offensée
En te laissant partir, j'ai provoqué
Ta perte et la perte
De ce qui restait de mon être

Quand je t'ai perdue
J'ai perdu le seul côté de moi que j'avais en toi
Et quand je t'ai cherchée, tu étais partie
Pauvre, insolent, j'ai blessé

Tout cet amour que tu
Avec toute ton innocence, tu m'avais donné
J'ai blessé ton cœur, et aujourd'hui à mes côtés
Je ressens le manque de ta chaleur, je t'ai perdue

Quand je t'ai perdue
Je me suis cogné contre le mur
Je me suis rendu compte que
Tu ne t'es pas enfuie de moi, je t'ai repoussée

Quand je t'ai perdue
J'ai perdu le seul côté de moi que j'avais en toi
Et quand je t'ai cherchée, tu étais partie
Pauvre, insolent, j'ai blessé

Tout cet amour que tu
Avec toute ton innocence, tu m'avais donné
J'ai blessé ton cœur, et aujourd'hui à mes côtés
Je ressens le manque de ta chaleur, je t'ai perdue

Je pensais te tenir dans le creux de ma main
À portée du désir de mes lèvres, ah
Pauvre malheureux